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La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Sept2025

Revue de presse

Salaire, Gen Z, IA … L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en septembre 2025.

Stress et IA

Selon une étude menée par LinkedIn, près de la moitié (44%) des professionnels interrogés en France déclarent que l’apprentissage de l’intelligence artificielle équivaut pour eux à un deuxième emploi. 34% se disent gênés par leur faible compréhension de l’IA et 37% sont stressés d’en parler au travail. Les salariés de la Génération Z ressentent d’autant plus cette pression et sont près de deux fois plus susceptibles de surestimer, ou de mentir sur leurs compétences en IA au travail que la génération précédente. L’étude démontre aussi que l’émergence de l’intelligence artificielle dans le monde du travail affecte le bien-être de quatre professionnels sur 10.
Emploi : les salariés français sous pression et « submergés » par l’intelligence artificielle
Article Capital publié le 16/09/2025

Question d’équilibre

Le cabinet Capstan Avocats a mené une enquête auprès de 800 dirigeants et DRH intitulée « Future of work : l’entreprise face aux transformations du travail ». Pour 97% des répondants les attentes en matière d’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle ne cessent de croître et deviennent une exigence structurelle. 59% des dirigeants pensent que l’engagement s’impose comme le défi majeur des prochaines années et plus de la moitié placent la santé et la qualité de vie au travail dans leur top 3 des priorités RH. Si le CDI ne suffit plus à fidéliser, l’attachement à l’entreprise se construit désormais sur l’expérience vécue, la reconnaissance et la qualité managériale.
Future of Work : les DRH face aux transformations (rapides) du travail
Article Focus RH publié le 17/09/2025

Idées reçues

Une étude menée par OpinionWay pour l’ANDRH, Workday et l’ISG RH va à l’encontre des idées reçues sur la génération Z. 86 % des jeunes actifs de moins de 30 ans titulaires d’un Bac+5 estiment que le travail a un impact positif sur leur équilibre de vie et leur bien-être global. Sur la fidélité, 30 % de la Gen Z se projettent dans une entreprise sur plus de 5 ans, 40% n’envisagent de rester que si leurs attentes sont alignées avec celles de l’employeur. Sur les questions de management, 76% des répondants envisagent un jour d’endosser des responsabilités managériales. Pour 83%, il est même légitime d’alterner des périodes avec ou sans management selon les moments de vie.
Que veut vraiment la Gen Z au travail ?
Article Focus RH publié le 30/09/2025

Critères des augmentations

Selon une étude de l’Apec et du groupe de réflexion Terra Nova, près d’un salarié du privé sur deux juge opaques les critères de fixation des augmentations au sein de leur entreprise. Quand les salariés comparent l’investissement en temps et en compétences mis dans leur travail et ce qu’ils obtiennent en retour, en termes de rémunération mais aussi de reconnaissance, 34% d’entre eux s’estiment plutôt perdants, 29% plutôt gagnants. Les seniors se sentent moins gagnants que les jeunes générations (24 % contre 34 %), les femmes moins que les hommes (25 % contre 33 %) et les professions intermédiaires sont les plus susceptibles de se juger perdantes (41 %).
Salaires : les employés du privé veulent plus de transparence et moins d’écart
Article L’Express publié le 24/09/2025

Assistant IA

Une étude de trois chercheurs de l’université Stanford révèle que les jeunes talents américains (22-25 ans) voient leurs opportunités fondre dans les métiers les plus exposés à l’IA comme développeurs, spécialistes du service client… L’économie américaine crée toujours des emplois à un rythme soutenu, mais cette dynamique exclut désormais les jeunes travailleurs. Parallèlement, les profils expérimentés dans ces mêmes fonctions poursuivent leur progression. Chez les cadres dirigeants ou les directeurs informatiques l’IA devient une sorte d’assistant qui aide à perfectionner une idée (« améliore cette présentation »), à acquérir des connaissances (« explique-moi ce concept »), ou à sécuriser une décision (« vérifie mon raisonnement »).
L’IA ne vole pas votre emploi…
Article Les Échos publié le 06/09/2025

2025-10-30T11:05:11+00:00octobre 30th, 2025|

Matinée de l’Observatoire à Toulouse – Les temps forts en images

Le jeudi 16 octobre 2025, près de 40 personnes ont participé à la matinée organisée par l’Observatoire, en partenariat avec Mews Partners & Osagan.

Présentation du Think Tank, restitution de la dernière étude, table-ronde, session de questions-réponses, atelier collaboratif… La rencontre a fait un tour d’horizon pour mieux comprendre les ressorts de l’engagement.

La matinée en images

Welcome et présentation de l’Observatoire par Fabienne Simon.
« Pour comprendre l’engagement, il faut s’intéresser aux 3 dimensions d’un même mouvement. Il y a d’abord une adhésion à un projet (avec la tête), une contribution à sa mise en œuvre (avec le corps) et une recommandation de l’entreprise (avec le cœur)  »
Questions – réponses
Thomas Bourlon et Sébastien Matty. Deux témoignages pour mieux appréhender l’engagement et poser un regard concret sur les leviers managériaux qui font la différence.
Un temps d’intelligence collective pour identifier les leviers et les freins d’engagement propres à un secteur.
Un atelier collaboratif sur les bonnes pratiques pour engager.
Un atelier collaboratif sur les bonnes pratiques pour engager.
L’équipe de l’Observatoire de l’Engagement. La matinée était animée par Fabienne Simon (Co-fondatrice de l’Observatoire et dirigeante de Osagan) et Geoffrey Carpentier (Co-fondateur de l’Observatoire et Managing Partner Mews Partners)

2025-10-25T09:47:58+00:00octobre 24th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Aout2025

Revue de presse

Transformation, métier de rêve, « tracances » … L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en août 2025.

Manager et IA

Selon l’étude AI At Work, 72 % des cols blancs dans 11 pays utilisent régulièrement l’IA. Ce chiffre est de 78 % pour les managers et de 50 % pour les autres salariés. L’IA remet fortement en cause la valeur ajoutée des managers puisqu’un salarié épaulé par une IA n’a plus besoin de la revue de son travail. L’IA est aussi capable d’affecter les tâches en fonction des compétences, des disponibilités et des priorités. Pourtant 70 % du niveau d’engagement dépend de l’interaction avec le manager… Moins technique et plus leader, le manager de demain devra se recentrer sur les fondamentaux du leadership : porter une vision, motiver les salariés et assurer une dynamique d’équipe.
L’IA et le blues des managers
Article Les Échos publié le 24/08/2025

Adhésion aux changements

Selon une enquête du cabinet RH Révélatis, près de 50 % des collaborateurs et managers perçoivent les changements comme une contrainte, souvent par manque de sens ou d’accompagnement adapté. Pour engager les équipes dans une démarche de transformation, trois leviers s’avèrent essentiels : former les managers afin qu’ils puissent surmonter les résistances, communiquer clairement et soutenir leurs équipes. Sensibiliser les équipes en amont, clarifier les enjeux et anticiper les incompréhensions. Favoriser la co-construction grâce à des ateliers collaboratifs ou des groupes de travail qui permettent aux équipes de devenir actrices du changement.
Conduite du changement en entreprise : 3 leviers pour engager
Article Culture RH publié le 27/08/2025

Job rêvé

Selon le dernier sondage d’Adobe Express, 54% des Français exerceraient le métier de leur rêve en 2025. Ils sont 71 % dans les métiers des arts du spectacle, suivent les métiers du droit (68 %), de la santé (66 %), de l’enseignement et de l’éducation (64 %), et de l’ingénierie, à égalité avec le marketing et la publicité (61 %). La satisfaction au travail tombe à 40 % dans les assurances et les pensions, et à 38 % dans les loisirs, le sport et le tourisme. Un épanouissement qui s’exprime différemment selon la ville : Montpellier et Clermont-Ferrand arrivent en tête avec 61 % de travailleurs occupant leur poste rêvé, devant Bordeaux (60 %), Lille (58 %) et Paris (56 %).
Pourquoi 42 % des Français prévoient de changer de job dans les prochains mois
Article Rebondir publié le 12/08/2025

Six leviers concrets

Si l’engagement se définit comme la volonté de contribuer à la réussite collective, six leviers concrets peuvent être activés à tous les niveaux pour le renforcer. Parmi eux, l’autonomie, qui agit comme un moteur d’implication, ainsi que les moments de vie collective pour renforcer le sentiment d’appartenance. Pour aller plus loin, encourager l’intrapreneuriat et mettre en avant les projets à impact comme le mécénat de compétences, le congé d’engagement associatif ou les challenges environnementaux. Enfin, soigner l’expérience collaborateur de bout en bout et rendre visible le sens des actions permettent de consolider l’engagement au quotidien.
Réveiller l’engagement, un levier stratégique pour (re)donner vie à l’entreprise
Article Courrier cadres publié le 21/08/2025

En « tracances »

Une étude Indeed révèle qu’un tiers des salariés français (34 %) ont déjà expérimenté les « tracances », une pratique qui consiste à télétravailler depuis un lieu de vacances. Un compromis qui brouille les frontières car l’objectif des vacances n’est pas juste d’être dans un endroit agréable, mais de ne plus penser au travail. Au niveau juridique, il faut déclarer un lieu de télétravail et s’y tenir. En cas de non-respect, la sanction dépend de la gravité du manquement, cela peut être un simple avertissement ou aller jusqu’au licenciement.
Les joies et frustrations du télétravail depuis un lieu de vacances
Article Les Échos publié le 02/08/2025

2025-10-25T08:51:46+00:00septembre 30th, 2025|

Matinée de l’Observatoire de l’Engagement 2025 à Toulouse

Matinée 2025

Une matinée organisée par l’Observatoire de l’engagement, en partenariat avec Mews Partners & Osagan

Repenser l’engagement au travail en 2025

Dans un contexte marqué par des discours alarmistes sur le désengagement, il devient essentiel de dépasser les simples indicateurs de mesure pour explorer les formes multiples et nuancées de l’engagement au travail.

En 2024, l’Observatoire de l’engagement a mené une étude approfondie, dressant un panorama inédit des profils d’engagement et des facteurs de désengagement. Ce travail met en lumière les dynamiques individuelles et organisationnelles qui influencent l’implication des collaborateurs.

Au programme  :

Présentation du panorama 2024
Typologies d’engagement, parcours de vie, signaux de désengagement : une mise en perspective essentielle pour mieux comprendre les ressorts de l’engagement.

Témoignages de managers de l’industrie
Comment développer une dynamique d’engagement durable avec ses collaborateurs, mais aussi avec ses partenaires et fournisseurs ?
Comment aborder la question des émotions dans une équipe, et en quoi leur reconnaissance peut renforcer, ou fragiliser, l’engagement collectif ?
Deux témoignages pour mieux appréhender l’engagement et poser un regard concret sur les leviers managériaux qui font la différence.

Atelier collaboratif
Un temps d’intelligence collective pour identifier ensemble les leviers et les freins d’engagement propres à votre secteur.

Cocktail déjeunatoire
Un moment convivial pour prolonger les échanges et nourrir les ambitions.

Cette matinée s’adresse à celles et ceux qui pilotent ou accompagnent les dynamiques humaines dans les organisations : managers, responsables RH, responsables formation/L&D, membres de change ou transformation office.

Où et quand ?

16 octobre 2025 – 10h30 – 13h30
Restaurant Sapiens –  55 av Louis Breguet
Toulouse

Avec la participation de

Thomas Bourlon
Head of Change & Communication
Airbus Supply Chain

Sébastien Matty
Président
GA Smart Building

Animé par

Fabienne Simon
Fondatrice et dirigeante
Osagan

Geoffrey Carpentier
Managing Partner
Mews Partners

2025-09-16T16:18:11+00:00septembre 16th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Juillet2025

Revue de presse

Semaine de 4 jours, vacances connectées, IA, absentéisme… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juillet 2025.

Plus d’engagement

Selon le Baromètre « IA & Engagement 2025 » par ChooseMyCompany, 69 % des collaborateurs utilisent déjà l’IA dans leur travail au quotidien et 64 % estiment qu’elle aura un impact positif sur leur métier. D’après les résultats le gain d’engagement se concrétise en entreprise « quand l’IA est bien intégrée » : +11,4 points sur le développement professionnel, +11,7 points sur l’appréciation de l’environnement de travail, +10 points de recommandation de l’entreprise chez les utilisateurs réguliers d’IA.
IA : une bonne intégration dans l’environnement de travail dope l’engagement
Article RH Matin publié le 07/07/2025

Arrêts de travail

Selon l’étude du groupe VYV, le taux d’absentéisme dans les entreprises du privé est resté stable, mais demeure nettement supérieur aux niveaux d’avant la crise sanitaire. Le taux d’absentéisme moyen atteint ainsi 5,2% en moyenne en 2024 contre 4,4% en 2019. L’étude montre l’augmentation de la durée moyenne des arrêts de travail longue durée qui atteint 39,5 jours en 2024, soit une hausse de 1,4 jour sur un an. Cette hausse concerne tous les salariés, quelle que soit la tranche d’âge. La part des salariés qui ont été en arrêt de travail au moins une fois dans l’année atteint 33%, soit un salarié du privé sur trois. Un chiffre stable par rapport à l’année précédente.
Les arrêts de travail longue durée explosent, voici leur durée moyenne
Article Capital publié le 18/07/2025

Vacances connectées

Selon une étude réalisée par l’institut CensusWide pour la plateforme Indeed, 28 % des salariés français consultent ponctuellement leurs messages professionnels pendant leurs congés. Les plus jeunes sont davantage concernés avec seulement 38 % des membres de la génération Z et 45 % des millennials qui parviennent à une déconnexion complète, contre 55 % des membres de la génération X et 67 % des baby-boomeurs. Au-delà d’une hyperconnexion, 11 % des salariés estiment que leur entreprise attend d’eux qu’ils restent joignables. Et 5 % des recruteurs admettent attendre de leurs salariés qu’ils restent attentifs à l’activité pendant leurs congés.
Les dangers de l’hyperconnexion en vacances
Article Les Échos publié le 25/07/2025

Semaine de 4 jours

Une étude à grande échelle a porté sur 2.896 employés issus de 141 entreprises dans six pays (Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni, Irlande et États-Unis). Des scientifiques américains issus du Boston College ont analysé une grande variété d’indicateurs relatifs à la santé mentale et physique, au burn-out ainsi que la satisfaction professionnelle avant et après l’introduction d’une semaine de quatre jours sans baisse de rémunération avec maintien d’une productivité d’au moins 80 % en moins d’heures travaillées. Ils ont noté chez les salariés une réduction de l’épuisement professionnel et une augmentation de la satisfaction au travail et du bien-être général.
Semaine de quatre jours : Une vaste étude internationale confirme ses bénéfices sur la santé et le bien-être au travail
Article 20 Minutes publié le 23/07/2025

9h15 maximum

Le géant indien des services informatiques Infosys a envoyé un mail de rappel à l’ordre à ceux qui travaillent trop et restent connectés au-delà du raisonnable. « Bien que nous apprécions votre engagement, nous sommes également convaincus qu’un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée est essentiel à votre bien-être et à votre réussite professionnelle à long terme ». Plusieurs salariés connectés plus de 60 heures par semaine ont été ainsi rappelés à l’ordre. Certains ont même été invités à discuter de la situation avec leur hiérarchie. La durée de travail acceptable est de 9 h 15 par jour, cinq jours par semaine, pour ne pas recevoir de message de la part des RH.
Ce géant indien rappelle à l’ordre les employés qui travaillent… trop
Article Les Échos publié le 09/07/2025

2025-10-25T08:49:44+00:00août 28th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Juin2025

Revue de presse

Déconnexion, jeunes actifs, mal-être au travail… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juin 2025.

En arrêt

La nouvelle édition du baromètre de Malakoff Humanis montre que l’absentéisme maladie progresse plus vite chez les jeunes que pour l’ensemble des salariés. 49% des jeunes actifs se sont vu prescrire au moins un arrêt maladie en 2024. C’est 7 points de plus que l’ensemble de la population. Et près du double des salariés de plus de 60 ans (26 %). Depuis 2019, l’absentéisme maladie des moins de 30 ans a progressé de 3 points, là où celui de l’ensemble des salariés est resté stable. Derrière ces chiffres se dessinent des aspirations fortes, telles qu’un besoin d’équilibre et de reconnaissance, mais aussi un attachement profond au travail, loin des clichés de désengagement.
L’absentéisme des jeunes actifs et l’évolution de leur rapport au travail
Baromètre Absentéisme Malakoff Humanis publié le 05/06/2025

Des leviers concrets

Les dirigeants peuvent maintenir des équipes dynamiques, motivées et pleinement investies grâce à cinq leviers concrets. Tout d’abord en finir avec la toxicité. Qu’il s’agisse de harcèlement, de microgestion, de rumeurs, de favoritisme ou de discrimination, ces comportements délétères minent la motivation et l’implication des équipes. Ensuite pour lutter proactivement contre le désengagement au travail, il faut miser sur la transparence, communiquer par la narration, aligner les équipes autour d’un objectif commun et enfin donner plus de responsabilités aux cadres intermédiaires.
5 stratégies pour lutter contre le désengagement au travail
Article Forbes publié le 27/06/2025

Déconnexion

L’étude Microsoft réalisée auprès de 31.000 employés à travers le monde révèle que les salariés ont de plus en plus de difficultés à déconnecter. Près d’un actif sur cinq travaille le week-end et consulte ses e-mails avant midi le samedi et le dimanche. L’enquête révèle une augmentation des courriels envoyés « en copie » dont la majorité sont lus en moins d’une minute. Alors que les salariés reçoivent en moyenne 117 e-mails par jour, ceux comptant plus de 20 destinataires ont augmenté de 7 %. Au-delà des e-mails, un utilisateur de Teams reçoit en moyenne 153 messages par jour (+6 % en un an). Les utilisateurs sont donc en moyenne interrompus toutes les deux minutes par une notification de travail, une réunion ou un nouvel e-mail.
Au bureau, les employés sont en moyenne interrompus toutes les deux minutes dans leur travail
Article Les Échos publié le 20/06/2025

Stress, fatigue…

Le cabinet Ekilibre publie le premier baromètre national des causes racines du mal-être au travail. 68% des salariés français sont globalement satisfaits de leur travail, mais 51,5% d’entre eux se sentent en situation de vulnérabilité professionnelle (stress, fatigue, pénibilité physique ou mal-être). Les principaux facteurs de mal-être : intensité et temps de travail, exigences émotionnelles, manque d’autonomie, rapports sociaux dégradés, conflits de valeur, insécurité de la situation de travail. L’enquête met également en lumière que les RH ne sont pas identifiées comme personnes ressources sur ces sujets. Les premières personnes vers lesquelles les salariés se tournent pour faire part de leur souffrance au travail sont un collègue (72%), un délégué du personnel (21%) un médecin ou une infirmière (21%).
Quelles sont les causes réelles du mal-être au travail ?
Article HelloWorkplace publié le 18/06/2025

Idées cadeaux !

UUn cadeau d’entreprise bien choisi peut significativement booster l’engagement et la motivation des salariés. Le choix doit être stratégique, en alignant le budget, la valeur perçue et l’originalité. Parmi les bonnes idées, les cadeaux high-tech (30-100 €) se démarquent par leur utilité quotidienne, comme les chargeurs à induction en bambou ou les enceintes solaires écologiques. Dans la catégorie éco-responsable (15-50€), les crayons à planter ou les gourdes en acier donnent une image positive de l’entreprise. Les cadeaux gourmands (20-80 €) créent des moments de convivialité, tandis que les cadeaux axés sur le bien-être (25-60 €) montrent une attention particulière à l’équilibre de vie des salariés.
Cadeaux d’entreprise 2025
Article Carnet de bord publié le 12/06/2025

2025-07-03T10:30:10+00:00juillet 3rd, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mai2025

Revue de presse

Performance, épuisement professionnel, présentéisme… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en mai 2025.

Salariés investis

Selon le 2e rapport publié par ADP Research issu de l’étude People at Work 2025, jamais les salariés français n’ont été aussi investis dans leur travail. 21 % des travailleurs se déclarent pleinement impliqués dans leur activité, contre seulement 15 % en 2015 et 13 % en 2020. Ce chiffre place la France au-dessus de la moyenne européenne (17 %) et mondiale (19 %). Plusieurs leviers influencent l’engagement : l’autonomie, le mode de travail, l’environnement d’équipe et le secteur d’activité. Les collaborateurs avec une liberté totale sur leur lieu de travail affichent un taux d’engagement nettement supérieur à ceux soumis à des contraintes de présence.
Engagement des salariés : la France atteint un record en 2024
Article Focus RH publié le 09/05/2025

Meilleurs talents

Une étude menée par l’université de l’Indiana auprès de plus de 600 000 personnes révèle que les meilleurs éléments d’une entreprise sont 400 % plus performants que la moyenne. Par ailleurs, selon une étude de Harvard, les personnes assises à moins de 7,5 mètres des meilleurs collaborateurs voient leurs performances s’améliorer de 15 %. Cependant, ces employés les plus performants tendent à quitter leur entreprise plus souvent que la moyenne. Pour retenir ces talents, trois stratégies principales se dégagent : donner un sens au travail, assurer un leadership fort et offrir des possibilités de développement et d’avancement.
Une étude révèle le pouvoir des meilleurs talents
Article Forbes publié le 07/05/2025

Retour au bureau

Selon l’étude Pulse menée par Owl Labs, les salariés français se disent confrontés à une forte demande de retour en présentiel de la part de leur employeur. 76% se disent dans cette situation selon l’enquête, 24 % expliquant se voir demandé un retour au bureau 5 jours par semaine, et 20,3 % 3 jours par semaine. Une réaction qui entraîne des conséquences négatives pour 56,7 % des salariés, qui explorent d’autres opportunités professionnelles. Pourtant 43,6 % des interrogés déclarent que le travail hybride leur a permis de s’améliorer, et notamment de progresser dans leur capacité à respecter les délais.
Retour au bureau : près de 80 % des salariés sous pression
Article Focus RH publié le 22/05/2025

Dirigeants épuisés

Selon une étude menée par le cabinet de recrutement de cadres LHH Iceco, plus de la moitié des dirigeants des quatre coins du globe seraient au bord du burn-out. En France, sur les 550 chefs d’entreprise ou membres de comex interrogés, 66 % se disent en état d’épuisement professionnel. C’est 26 points de plus qu’en 2023. En causes entre autres, la guerre commerciale ou encore l’instabilité politique. À cela, il faut ajouter un taux de renouvellement inédit des équipes de direction (qui dépasse les 50 % dans plus de la moitié des entreprises interrogées en 2024).
Guerre commerciale, turn-over inédit… plus de la moitié des dirigeants se disent « épuisés »
Article Le Figaro publié le 13/05/2025

Présentéisme

Une étude publiée par Indeed revele que près d’un quart des salariés consulte ses messages et e-mails professionnels lors de ses vacances et 16 % le font tard le soir. Un présentéisme qui n’est pas seulement digital puisque plus d’un tiers des salariés interrogés se sentent obligés de rester tard au bureau dans l’unique but de montrer leur engagement. Enfin, près de la moitié des quelque 1.000 répondants estiment que leur présence au travail compte plus que les résultats.
Fête du travail : Mails tard le soir, SMS en vacances… Comment poser les limites au boulot ?
Article 20 minutes publié le 01/05/2025

2025-06-19T09:08:34+00:00juin 19th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Avril2025

Revue de presse

Réengagement, jeunes actifs, diversité et inclusion… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en avril 2025.

Un recul mondial

Selon la dernière étude State of the Global Workplace 2025 de l’institut Gallup, l’engagement des salariés au niveau mondial a reculé de 23% à 21%. Seuls 8% des salariés français sont engagés. En cause, le stress quotidien, un sentiment de colère, de tristesse et même de solitude. Pour autant, ils ne souhaitent pas particulièrement quitter leur travail, et même moins que la moyenne européenne. 29% d’entre eux cherchent activement un nouveau travail, ce qui place la France au 26e rang européen. A l’inverse, bien qu’elle soit parmi les pays où les salariés se sentent les moins stressés, la Finlande est le pays où les salariés veulent le plus changer de travail (40%).
Les salariés français sont les moins engagés d’Europe
Article Hello Workplace publié le 23/04/2025

Jeunes actifs

Une vaste étude publiée par l’Institut Montaigne révèle quatre profils types de jeunes actifs aux attentes parfois très variées. Les frustrés (28 %) se caractérisent par des attentes non comblées dans l’emploi qu’ils occupent, ce qui entraîne une défiance pour les uns, et une profonde désaffection du monde du travail pour les autres. Les fatalistes (20 %), résignés, formulent très peu d’attentes, et ne manifestent pas forcément de frustration quant à l’emploi qu’ils occupent, sauf à l’égard de leur management. Les rebelles (20%) satisfaits de leur emploi, mais réticents à l’autorité et animés par un fort désir de quitter l’entreprise. Et enfin, les satisfaits (32%) qui ont un rapport au travail positif et apaisé.
Les jeunes et le travail : aspirations et désillusions des 16-30 ans
Enquête de l’Institut Montaigne publiée le 29/04/2025

Santé mentale

Les résultats du baromètre de la santé mentale des salariés montrent une augmentation du désengagement et du mal-être au travail. 41 % des salariés ne se sentent pas motivés pour travailler de manière productive (+5 points par rapport à 2023). Principalement en cause : le manque de reconnaissance, le manque d’opportunités de développement des compétences ou encore le manque de sens trouvé dans les activités quotidiennes. 34 % des interrogés déclarent aussi avoir envisagé de quitter leur entreprise pour protéger leur santé mentale (en hausse de 4 points). Selon le baromètre, le coût des troubles psychologiques pour les entreprises est estimé à 3 800 € par an et par collaborateur, incluant l’absentéisme, le turnover et la baisse de productivité.
Plus d’1 salarié sur 3 menace de démissionner
Baromètre Teale publié le 14/04/2025

Diversité et inclusion

Selon une étude menée par Ipsos, qui a interrogé 800 personnes en France en mars 2025, les Français soutiennent en majorité les programmes de diversité et inclusion des entreprises, qu’ils soient jeunes ou séniors, urbains ou ruraux. Les répondants estiment très majoritairement (à au moins 69 %) que les entreprises ont raison de s’impliquer pour ces causes, aussi bien auprès de leurs salariés que du grand public. 77 % estiment que les entreprises françaises qui ont mis en place des programmes en ce sens devraient les maintenir. A l’inverse, moins d’un quart des sondés (23 %) considèrent qu’elles devraient faire comme certaines entreprises américaines et y renoncer.
Trump ou non, les Français plébiscitent la diversité et l’inclusion au travail
Article Les Échos publié le 09/04/2025

Réengager les talents

La 5e édition de l’enquête Robert Half « Ce que veulent les candidats » révèlent que 10 % seulement des sondés se disent en recherche active d’emploi, pendant que 69 % se disent satisfaits de leur emploi actuel. Pour réengager les talents, il faut observer les raisons qui poussent un salarié à changer d’entreprise et la raison n°1 reste la rémunération (51 %) devant le manque de perspectives d’évolutions professionnelles (31 %) et la quête de sens (26 %). Autre incitation au changement : le manque de flexibilité, c’est-à-dire la réticence que pourrait avoir une entreprise vis-à-vis du télétravail, du travail hybride ou encore d’une flexibilité des horaires, désormais évoqué comme frein pour 29 % des sondés (+7 points en un an).
Flexibilité, salaire, transparence : les nouveaux impératifs des candidats à l’embauche
Article Focus RH publié le 17/04/2025

2025-05-20T09:04:48+00:00mai 20th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mars2025

Revue de presse

Motivation, transparence, efficacité… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en mars 2025.

Booster l’efficacité

Le sentiment d’efficacité personnelle (SEP) désigne la croyance d’un individu en sa capacité à organiser et à exécuter des actions. Lorsqu’un salarié se sent compétent et efficace, il s’investit davantage, persévère face aux obstacles et retrouve du sens dans son travail. À l’inverse, un faible SEP peut conduire à l’inaction et à la démotivation. Il est possible de booster ce sentiment d’efficacité : mettre en place un cadre avec des repères et des ressources pour offrir un environnement structurant, fixer des objectifs clairs et atteignables, encourager le feedback, le mentorat et garantir un climat de travail sécurisant.
Engagement en berne : pourquoi le sentiment d’efficacité peut tout changer 
Article Courrier Cadres publié le 26/03/2025

Effort et performance

Une étude de l’Essec révèle qu’il peut être bénéfique pour les collègues de bureau de se surveiller mutuellement. Deux types d’informations sont accessibles entre collègues : l’effort (investissement dans le travail) et la performance (résultats obtenus). Ces dimensions ne sont pas toujours visibles au bureau. En télétravail, il est difficile de mesurer l’effort, mais la productivité peut être évaluée. Les chercheurs ont découvert que lorsque les salariés peuvent observer les efforts de leurs collègues, ils sont également capables de détecter d’éventuelles manipulations des résultats. Cette transparence réduit donc la tentation de tricher, car le risque d’être démasqué est plus élevé.
Surveiller le travail de ses collègues : et si c’était plus positif qu’on ne le pense ?
Article Le Point publié le 21/03/2025

Risques émergents

Selon une étude de la Dares, si le télétravail favorise l’autonomie, réduit les trajets domicile-travail et peut améliorer la conciliation entre vie personnelle et vie professionnelle, la pratique est également associée à des risques psychosociaux émergents. L’étude identifie trois principaux risques pour les télétravailleurs : la distanciation des relations sociales, l’intensification du travail et la difficile articulation des temps de vie.
Isolement, surcharge, inégalités : les risques du télétravail pointés par la Dares
Article Challenges publié le 29/03/2025

Baisse de la motivation

La 8ᵉ édition du baromètre « Les RH au quotidien » révèle une baisse de la motivation des professionnels RH, passant de 60 % en 2024 à 53 % en 2025. Cette diminution de 7 points en un an et de 10 points en trois ans alerte sur une usure progressive du métier. Les RH estiment à 66 % que leur travail se complexifie sans moyens adéquats. Entre manque de reconnaissance et tâches administratives lourdes, ils peinent à répondre aux attentes des salariés et aux contraintes de l’entreprise. Pourtant, les besoins d’attractivité et de fidélisation n’ont jamais été aussi forts. Selon le baromètre, 63 % des RH considèrent la rétention des talents comme leur priorité absolue, dépassant même le recrutement.
Baromètre 2025 : les RH au quotidien
Baromètre Éditions Tissot et Payfit publié le 17/03/2025

Re-baisse de la motivation

Le baromètre de la santé mentale des salariés, publié par la plateforme Teale, révèle qu’en 2024, 4 salariés sur 10 ne se reconnaissent plus dans les valeurs de leur employeur (contre 3 sur 10 en 2023). Cette crise de sens entraîne une baisse de la satisfaction au travail : 55 % des salariés sont satisfaits, contre 65 % un an plus tôt. La motivation chute également avec 41 % des salariés non motivés pour travailler de manière productive, un chiffre en hausse de 5 points sur un an. Et, malgré un contexte économique incertain, 34 % envisagent de quitter leur poste pour préserver leur santé mentale, en hausse de 4 points par rapport à 2023.
Plus d’1 salarié sur 3 menace de démissionner malgré le contexte économique incertain
Article Forbes publié le 27/03/2025

2025-04-10T08:21:52+00:00avril 10th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Février2025

Revue de presse

IA, jeunes diplômés, attentes des salariés… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en février 2025.

Les aspects les plus importants

Selon l’enquête Great Insights 2025 sur les attentes des salariés français, 42% jugent que leur travail n’est pas rémunéré à sa juste valeur et 22% estiment que leur activité professionnelle a un impact négatif sur leur santé mentale. Parmi les aspects du travail les plus importants, l’autonomie arrive en première position et l’équilibre vie pro/vie perso se classe en deuxième, avant la convivialité. Si le travail garde une place prépondérante dans l’existence, 71% des répondants y voient une source d’épanouissement personnel.
Ces 5 choses que les Français attendent de leur travail
Article Hello Workplace publié le 04/02/2025

Expérience collaborateur

84% des décideurs classent l’expérience collaborateur parmi les sujets prioritaires d’après une étude Ipsos pour Insign. Mais l’une des principales difficultés est d’avoir des moyens suffisants pour évaluer le retour sur investissement. Manque d’outils de mesure fiables, de maturité sur le sujet, de méthodologies adaptées… Seule une entreprise sur trois dispose d’une démarche structurée et 36% des décideurs considèrent la réduction du turnover comme un indicateur clé. Intimement lié à l’expérience collaborateur, le turnover est pourtant sous-évalué par 81 % des décideurs RH.
Expérience collaborateur et turnover
Article Culture RH publié le 12/02/2025

57 minutes par jour

Selon une étude Odoxa, le gain de temps par les utilisateurs de l’IA est estimé à 57 minutes par jour en moyenne. Alors que les entreprises françaises s’attellent à dompter ce nouvel outil, seulement 12 % des salariés français utilisent l’IA au travail. La moitié d’entre eux (47 %) estiment aussi avoir besoin de compétences supplémentaires et même avec un bon prompt, une vérification humaine reste nécessaire. Ces connaissances en écriture de prompt ne sont pas encore clairement identifiées par les recruteurs même si c’est une compétence qui sera de plus en plus recherchée.
Savoir écrire un prompt : l’expertise IA qui fera « de plus en plus la différence » entre les salariés
Article Les Échos publié le 07/02/2025

Stressant

Le dernier baromètre Nomad Education dresse un état des lieux des aspirations professionnelles de la Gen Z. 61 % des jeunes veulent exercer un métier qui a du sens, aussi bien pour eux-mêmes que pour la société et 34 % d’entre eux placent l’équilibre vie pro / vie perso en tête de leurs critères, devant la rémunération (28 %). Si 70% des étudiants jugent le monde du travail stimulant, ils le perçoivent aussi comme exigeant, compétitif et stressant (80%).
Les jeunes et le travail 
Baromètre Nomad Education et Groupe Actual publié le 11/02/2025

IA vs Jeunes diplômés

Selon une étude de la Hult International Business School, 37% des recruteurs américains affirment privilégier le déploiement d’une intelligence artificielle (IA) au recrutement d’un jeune diplômé. 96% d’entre eux estiment que les universités ne préparent pas efficacement les étudiants à leurs futures responsabilités. Contrairement aux salariés, une IA ne prend pas de congés, ne demande pas de salaire et ne commet pas d’erreurs humaines. Une tendance critiquée par certains experts qui remarquent que les entreprises se servent de l’IA pour éviter d’investir dans la formation.
Emploi : quand l’IA se substitue aux jeunes diplômés
Article Capital publié le 02/02/2025

2025-03-13T09:59:06+00:00mars 13th, 2025|
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