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La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Juillet2025

Revue de presse

Semaine de 4 jours, vacances connectées, IA, absentéisme… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juillet 2025.

Plus d’engagement

Selon le Baromètre « IA & Engagement 2025 » par ChooseMyCompany, 69 % des collaborateurs utilisent déjà l’IA dans leur travail au quotidien et 64 % estiment qu’elle aura un impact positif sur leur métier. D’après les résultats le gain d’engagement se concrétise en entreprise « quand l’IA est bien intégrée » : +11,4 points sur le développement professionnel, +11,7 points sur l’appréciation de l’environnement de travail, +10 points de recommandation de l’entreprise chez les utilisateurs réguliers d’IA.
IA : une bonne intégration dans l’environnement de travail dope l’engagement
Article RH Matin publié le 07/07/2025

Arrêts de travail

Selon l’étude du groupe VYV, le taux d’absentéisme dans les entreprises du privé est resté stable, mais demeure nettement supérieur aux niveaux d’avant la crise sanitaire. Le taux d’absentéisme moyen atteint ainsi 5,2% en moyenne en 2024 contre 4,4% en 2019. L’étude montre l’augmentation de la durée moyenne des arrêts de travail longue durée qui atteint 39,5 jours en 2024, soit une hausse de 1,4 jour sur un an. Cette hausse concerne tous les salariés, quelle que soit la tranche d’âge. La part des salariés qui ont été en arrêt de travail au moins une fois dans l’année atteint 33%, soit un salarié du privé sur trois. Un chiffre stable par rapport à l’année précédente.
Les arrêts de travail longue durée explosent, voici leur durée moyenne
Article Capital publié le 18/07/2025

Vacances connectées

Selon une étude réalisée par l’institut CensusWide pour la plateforme Indeed, 28 % des salariés français consultent ponctuellement leurs messages professionnels pendant leurs congés. Les plus jeunes sont davantage concernés avec seulement 38 % des membres de la génération Z et 45 % des millennials qui parviennent à une déconnexion complète, contre 55 % des membres de la génération X et 67 % des baby-boomeurs. Au-delà d’une hyperconnexion, 11 % des salariés estiment que leur entreprise attend d’eux qu’ils restent joignables. Et 5 % des recruteurs admettent attendre de leurs salariés qu’ils restent attentifs à l’activité pendant leurs congés.
Les dangers de l’hyperconnexion en vacances
Article Les Échos publié le 25/07/2025

Semaine de 4 jours

Une étude à grande échelle a porté sur 2.896 employés issus de 141 entreprises dans six pays (Australie, Nouvelle-Zélande, Canada, Royaume-Uni, Irlande et États-Unis). Des scientifiques américains issus du Boston College ont analysé une grande variété d’indicateurs relatifs à la santé mentale et physique, au burn-out ainsi que la satisfaction professionnelle avant et après l’introduction d’une semaine de quatre jours sans baisse de rémunération avec maintien d’une productivité d’au moins 80 % en moins d’heures travaillées. Ils ont noté chez les salariés une réduction de l’épuisement professionnel et une augmentation de la satisfaction au travail et du bien-être général.
Semaine de quatre jours : Une vaste étude internationale confirme ses bénéfices sur la santé et le bien-être au travail
Article 20 Minutes publié le 23/07/2025

9h15 maximum

Le géant indien des services informatiques Infosys a envoyé un mail de rappel à l’ordre à ceux qui travaillent trop et restent connectés au-delà du raisonnable. « Bien que nous apprécions votre engagement, nous sommes également convaincus qu’un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée est essentiel à votre bien-être et à votre réussite professionnelle à long terme ». Plusieurs salariés connectés plus de 60 heures par semaine ont été ainsi rappelés à l’ordre. Certains ont même été invités à discuter de la situation avec leur hiérarchie. La durée de travail acceptable est de 9 h 15 par jour, cinq jours par semaine, pour ne pas recevoir de message de la part des RH.
Ce géant indien rappelle à l’ordre les employés qui travaillent… trop
Article Les Échos publié le 09/07/2025

Par |2025-08-28T09:03:52+00:00août 28th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Juin2025

Revue de presse

Déconnexion, jeunes actifs, mal-être au travail… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juin 2025.

En arrêt

La nouvelle édition du baromètre de Malakoff Humanis montre que l’absentéisme maladie progresse plus vite chez les jeunes que pour l’ensemble des salariés. 49% des jeunes actifs se sont vu prescrire au moins un arrêt maladie en 2024. C’est 7 points de plus que l’ensemble de la population. Et près du double des salariés de plus de 60 ans (26 %). Depuis 2019, l’absentéisme maladie des moins de 30 ans a progressé de 3 points, là où celui de l’ensemble des salariés est resté stable. Derrière ces chiffres se dessinent des aspirations fortes, telles qu’un besoin d’équilibre et de reconnaissance, mais aussi un attachement profond au travail, loin des clichés de désengagement.
L’absentéisme des jeunes actifs et l’évolution de leur rapport au travail
Baromètre Absentéisme Malakoff Humanis publié le 05/06/2025

Des leviers concrets

Les dirigeants peuvent maintenir des équipes dynamiques, motivées et pleinement investies grâce à cinq leviers concrets. Tout d’abord en finir avec la toxicité. Qu’il s’agisse de harcèlement, de microgestion, de rumeurs, de favoritisme ou de discrimination, ces comportements délétères minent la motivation et l’implication des équipes. Ensuite pour lutter proactivement contre le désengagement au travail, il faut miser sur la transparence, communiquer par la narration, aligner les équipes autour d’un objectif commun et enfin donner plus de responsabilités aux cadres intermédiaires.
5 stratégies pour lutter contre le désengagement au travail
Article Forbes publié le 27/06/2025

Déconnexion

L’étude Microsoft réalisée auprès de 31.000 employés à travers le monde révèle que les salariés ont de plus en plus de difficultés à déconnecter. Près d’un actif sur cinq travaille le week-end et consulte ses e-mails avant midi le samedi et le dimanche. L’enquête révèle une augmentation des courriels envoyés « en copie » dont la majorité sont lus en moins d’une minute. Alors que les salariés reçoivent en moyenne 117 e-mails par jour, ceux comptant plus de 20 destinataires ont augmenté de 7 %. Au-delà des e-mails, un utilisateur de Teams reçoit en moyenne 153 messages par jour (+6 % en un an). Les utilisateurs sont donc en moyenne interrompus toutes les deux minutes par une notification de travail, une réunion ou un nouvel e-mail.
Au bureau, les employés sont en moyenne interrompus toutes les deux minutes dans leur travail
Article Les Échos publié le 20/06/2025

Stress, fatigue…

Le cabinet Ekilibre publie le premier baromètre national des causes racines du mal-être au travail. 68% des salariés français sont globalement satisfaits de leur travail, mais 51,5% d’entre eux se sentent en situation de vulnérabilité professionnelle (stress, fatigue, pénibilité physique ou mal-être). Les principaux facteurs de mal-être : intensité et temps de travail, exigences émotionnelles, manque d’autonomie, rapports sociaux dégradés, conflits de valeur, insécurité de la situation de travail. L’enquête met également en lumière que les RH ne sont pas identifiées comme personnes ressources sur ces sujets. Les premières personnes vers lesquelles les salariés se tournent pour faire part de leur souffrance au travail sont un collègue (72%), un délégué du personnel (21%) un médecin ou une infirmière (21%).
Quelles sont les causes réelles du mal-être au travail ?
Article HelloWorkplace publié le 18/06/2025

Idées cadeaux !

UUn cadeau d’entreprise bien choisi peut significativement booster l’engagement et la motivation des salariés. Le choix doit être stratégique, en alignant le budget, la valeur perçue et l’originalité. Parmi les bonnes idées, les cadeaux high-tech (30-100 €) se démarquent par leur utilité quotidienne, comme les chargeurs à induction en bambou ou les enceintes solaires écologiques. Dans la catégorie éco-responsable (15-50€), les crayons à planter ou les gourdes en acier donnent une image positive de l’entreprise. Les cadeaux gourmands (20-80 €) créent des moments de convivialité, tandis que les cadeaux axés sur le bien-être (25-60 €) montrent une attention particulière à l’équilibre de vie des salariés.
Cadeaux d’entreprise 2025
Article Carnet de bord publié le 12/06/2025

Par |2025-07-03T10:30:10+00:00juillet 3rd, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mai2025

Revue de presse

Performance, épuisement professionnel, présentéisme… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en mai 2025.

Salariés investis

Selon le 2e rapport publié par ADP Research issu de l’étude People at Work 2025, jamais les salariés français n’ont été aussi investis dans leur travail. 21 % des travailleurs se déclarent pleinement impliqués dans leur activité, contre seulement 15 % en 2015 et 13 % en 2020. Ce chiffre place la France au-dessus de la moyenne européenne (17 %) et mondiale (19 %). Plusieurs leviers influencent l’engagement : l’autonomie, le mode de travail, l’environnement d’équipe et le secteur d’activité. Les collaborateurs avec une liberté totale sur leur lieu de travail affichent un taux d’engagement nettement supérieur à ceux soumis à des contraintes de présence.
Engagement des salariés : la France atteint un record en 2024
Article Focus RH publié le 09/05/2025

Meilleurs talents

Une étude menée par l’université de l’Indiana auprès de plus de 600 000 personnes révèle que les meilleurs éléments d’une entreprise sont 400 % plus performants que la moyenne. Par ailleurs, selon une étude de Harvard, les personnes assises à moins de 7,5 mètres des meilleurs collaborateurs voient leurs performances s’améliorer de 15 %. Cependant, ces employés les plus performants tendent à quitter leur entreprise plus souvent que la moyenne. Pour retenir ces talents, trois stratégies principales se dégagent : donner un sens au travail, assurer un leadership fort et offrir des possibilités de développement et d’avancement.
Une étude révèle le pouvoir des meilleurs talents
Article Forbes publié le 07/05/2025

Retour au bureau

Selon l’étude Pulse menée par Owl Labs, les salariés français se disent confrontés à une forte demande de retour en présentiel de la part de leur employeur. 76% se disent dans cette situation selon l’enquête, 24 % expliquant se voir demandé un retour au bureau 5 jours par semaine, et 20,3 % 3 jours par semaine. Une réaction qui entraîne des conséquences négatives pour 56,7 % des salariés, qui explorent d’autres opportunités professionnelles. Pourtant 43,6 % des interrogés déclarent que le travail hybride leur a permis de s’améliorer, et notamment de progresser dans leur capacité à respecter les délais.
Retour au bureau : près de 80 % des salariés sous pression
Article Focus RH publié le 22/05/2025

Dirigeants épuisés

Selon une étude menée par le cabinet de recrutement de cadres LHH Iceco, plus de la moitié des dirigeants des quatre coins du globe seraient au bord du burn-out. En France, sur les 550 chefs d’entreprise ou membres de comex interrogés, 66 % se disent en état d’épuisement professionnel. C’est 26 points de plus qu’en 2023. En causes entre autres, la guerre commerciale ou encore l’instabilité politique. À cela, il faut ajouter un taux de renouvellement inédit des équipes de direction (qui dépasse les 50 % dans plus de la moitié des entreprises interrogées en 2024).
Guerre commerciale, turn-over inédit… plus de la moitié des dirigeants se disent « épuisés »
Article Le Figaro publié le 13/05/2025

Présentéisme

Une étude publiée par Indeed revele que près d’un quart des salariés consulte ses messages et e-mails professionnels lors de ses vacances et 16 % le font tard le soir. Un présentéisme qui n’est pas seulement digital puisque plus d’un tiers des salariés interrogés se sentent obligés de rester tard au bureau dans l’unique but de montrer leur engagement. Enfin, près de la moitié des quelque 1.000 répondants estiment que leur présence au travail compte plus que les résultats.
Fête du travail : Mails tard le soir, SMS en vacances… Comment poser les limites au boulot ?
Article 20 minutes publié le 01/05/2025

Par |2025-06-19T09:08:34+00:00juin 19th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Avril2025

Revue de presse

Réengagement, jeunes actifs, diversité et inclusion… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en avril 2025.

Un recul mondial

Selon la dernière étude State of the Global Workplace 2025 de l’institut Gallup, l’engagement des salariés au niveau mondial a reculé de 23% à 21%. Seuls 8% des salariés français sont engagés. En cause, le stress quotidien, un sentiment de colère, de tristesse et même de solitude. Pour autant, ils ne souhaitent pas particulièrement quitter leur travail, et même moins que la moyenne européenne. 29% d’entre eux cherchent activement un nouveau travail, ce qui place la France au 26e rang européen. A l’inverse, bien qu’elle soit parmi les pays où les salariés se sentent les moins stressés, la Finlande est le pays où les salariés veulent le plus changer de travail (40%).
Les salariés français sont les moins engagés d’Europe
Article Hello Workplace publié le 23/04/2025

Jeunes actifs

Une vaste étude publiée par l’Institut Montaigne révèle quatre profils types de jeunes actifs aux attentes parfois très variées. Les frustrés (28 %) se caractérisent par des attentes non comblées dans l’emploi qu’ils occupent, ce qui entraîne une défiance pour les uns, et une profonde désaffection du monde du travail pour les autres. Les fatalistes (20 %), résignés, formulent très peu d’attentes, et ne manifestent pas forcément de frustration quant à l’emploi qu’ils occupent, sauf à l’égard de leur management. Les rebelles (20%) satisfaits de leur emploi, mais réticents à l’autorité et animés par un fort désir de quitter l’entreprise. Et enfin, les satisfaits (32%) qui ont un rapport au travail positif et apaisé.
Les jeunes et le travail : aspirations et désillusions des 16-30 ans
Enquête de l’Institut Montaigne publiée le 29/04/2025

Santé mentale

Les résultats du baromètre de la santé mentale des salariés montrent une augmentation du désengagement et du mal-être au travail. 41 % des salariés ne se sentent pas motivés pour travailler de manière productive (+5 points par rapport à 2023). Principalement en cause : le manque de reconnaissance, le manque d’opportunités de développement des compétences ou encore le manque de sens trouvé dans les activités quotidiennes. 34 % des interrogés déclarent aussi avoir envisagé de quitter leur entreprise pour protéger leur santé mentale (en hausse de 4 points). Selon le baromètre, le coût des troubles psychologiques pour les entreprises est estimé à 3 800 € par an et par collaborateur, incluant l’absentéisme, le turnover et la baisse de productivité.
Plus d’1 salarié sur 3 menace de démissionner
Baromètre Teale publié le 14/04/2025

Diversité et inclusion

Selon une étude menée par Ipsos, qui a interrogé 800 personnes en France en mars 2025, les Français soutiennent en majorité les programmes de diversité et inclusion des entreprises, qu’ils soient jeunes ou séniors, urbains ou ruraux. Les répondants estiment très majoritairement (à au moins 69 %) que les entreprises ont raison de s’impliquer pour ces causes, aussi bien auprès de leurs salariés que du grand public. 77 % estiment que les entreprises françaises qui ont mis en place des programmes en ce sens devraient les maintenir. A l’inverse, moins d’un quart des sondés (23 %) considèrent qu’elles devraient faire comme certaines entreprises américaines et y renoncer.
Trump ou non, les Français plébiscitent la diversité et l’inclusion au travail
Article Les Échos publié le 09/04/2025

Réengager les talents

La 5e édition de l’enquête Robert Half « Ce que veulent les candidats » révèlent que 10 % seulement des sondés se disent en recherche active d’emploi, pendant que 69 % se disent satisfaits de leur emploi actuel. Pour réengager les talents, il faut observer les raisons qui poussent un salarié à changer d’entreprise et la raison n°1 reste la rémunération (51 %) devant le manque de perspectives d’évolutions professionnelles (31 %) et la quête de sens (26 %). Autre incitation au changement : le manque de flexibilité, c’est-à-dire la réticence que pourrait avoir une entreprise vis-à-vis du télétravail, du travail hybride ou encore d’une flexibilité des horaires, désormais évoqué comme frein pour 29 % des sondés (+7 points en un an).
Flexibilité, salaire, transparence : les nouveaux impératifs des candidats à l’embauche
Article Focus RH publié le 17/04/2025

Par |2025-05-20T09:04:48+00:00mai 20th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mars2025

Revue de presse

Motivation, transparence, efficacité… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en mars 2025.

Booster l’efficacité

Le sentiment d’efficacité personnelle (SEP) désigne la croyance d’un individu en sa capacité à organiser et à exécuter des actions. Lorsqu’un salarié se sent compétent et efficace, il s’investit davantage, persévère face aux obstacles et retrouve du sens dans son travail. À l’inverse, un faible SEP peut conduire à l’inaction et à la démotivation. Il est possible de booster ce sentiment d’efficacité : mettre en place un cadre avec des repères et des ressources pour offrir un environnement structurant, fixer des objectifs clairs et atteignables, encourager le feedback, le mentorat et garantir un climat de travail sécurisant.
Engagement en berne : pourquoi le sentiment d’efficacité peut tout changer 
Article Courrier Cadres publié le 26/03/2025

Effort et performance

Une étude de l’Essec révèle qu’il peut être bénéfique pour les collègues de bureau de se surveiller mutuellement. Deux types d’informations sont accessibles entre collègues : l’effort (investissement dans le travail) et la performance (résultats obtenus). Ces dimensions ne sont pas toujours visibles au bureau. En télétravail, il est difficile de mesurer l’effort, mais la productivité peut être évaluée. Les chercheurs ont découvert que lorsque les salariés peuvent observer les efforts de leurs collègues, ils sont également capables de détecter d’éventuelles manipulations des résultats. Cette transparence réduit donc la tentation de tricher, car le risque d’être démasqué est plus élevé.
Surveiller le travail de ses collègues : et si c’était plus positif qu’on ne le pense ?
Article Le Point publié le 21/03/2025

Risques émergents

Selon une étude de la Dares, si le télétravail favorise l’autonomie, réduit les trajets domicile-travail et peut améliorer la conciliation entre vie personnelle et vie professionnelle, la pratique est également associée à des risques psychosociaux émergents. L’étude identifie trois principaux risques pour les télétravailleurs : la distanciation des relations sociales, l’intensification du travail et la difficile articulation des temps de vie.
Isolement, surcharge, inégalités : les risques du télétravail pointés par la Dares
Article Challenges publié le 29/03/2025

Baisse de la motivation

La 8ᵉ édition du baromètre « Les RH au quotidien » révèle une baisse de la motivation des professionnels RH, passant de 60 % en 2024 à 53 % en 2025. Cette diminution de 7 points en un an et de 10 points en trois ans alerte sur une usure progressive du métier. Les RH estiment à 66 % que leur travail se complexifie sans moyens adéquats. Entre manque de reconnaissance et tâches administratives lourdes, ils peinent à répondre aux attentes des salariés et aux contraintes de l’entreprise. Pourtant, les besoins d’attractivité et de fidélisation n’ont jamais été aussi forts. Selon le baromètre, 63 % des RH considèrent la rétention des talents comme leur priorité absolue, dépassant même le recrutement.
Baromètre 2025 : les RH au quotidien
Baromètre Éditions Tissot et Payfit publié le 17/03/2025

Re-baisse de la motivation

Le baromètre de la santé mentale des salariés, publié par la plateforme Teale, révèle qu’en 2024, 4 salariés sur 10 ne se reconnaissent plus dans les valeurs de leur employeur (contre 3 sur 10 en 2023). Cette crise de sens entraîne une baisse de la satisfaction au travail : 55 % des salariés sont satisfaits, contre 65 % un an plus tôt. La motivation chute également avec 41 % des salariés non motivés pour travailler de manière productive, un chiffre en hausse de 5 points sur un an. Et, malgré un contexte économique incertain, 34 % envisagent de quitter leur poste pour préserver leur santé mentale, en hausse de 4 points par rapport à 2023.
Plus d’1 salarié sur 3 menace de démissionner malgré le contexte économique incertain
Article Forbes publié le 27/03/2025

Par |2025-04-10T08:21:52+00:00avril 10th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Février2025

Revue de presse

IA, jeunes diplômés, attentes des salariés… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en février 2025.

Les aspects les plus importants

Selon l’enquête Great Insights 2025 sur les attentes des salariés français, 42% jugent que leur travail n’est pas rémunéré à sa juste valeur et 22% estiment que leur activité professionnelle a un impact négatif sur leur santé mentale. Parmi les aspects du travail les plus importants, l’autonomie arrive en première position et l’équilibre vie pro/vie perso se classe en deuxième, avant la convivialité. Si le travail garde une place prépondérante dans l’existence, 71% des répondants y voient une source d’épanouissement personnel.
Ces 5 choses que les Français attendent de leur travail
Article Hello Workplace publié le 04/02/2025

Expérience collaborateur

84% des décideurs classent l’expérience collaborateur parmi les sujets prioritaires d’après une étude Ipsos pour Insign. Mais l’une des principales difficultés est d’avoir des moyens suffisants pour évaluer le retour sur investissement. Manque d’outils de mesure fiables, de maturité sur le sujet, de méthodologies adaptées… Seule une entreprise sur trois dispose d’une démarche structurée et 36% des décideurs considèrent la réduction du turnover comme un indicateur clé. Intimement lié à l’expérience collaborateur, le turnover est pourtant sous-évalué par 81 % des décideurs RH.
Expérience collaborateur et turnover
Article Culture RH publié le 12/02/2025

57 minutes par jour

Selon une étude Odoxa, le gain de temps par les utilisateurs de l’IA est estimé à 57 minutes par jour en moyenne. Alors que les entreprises françaises s’attellent à dompter ce nouvel outil, seulement 12 % des salariés français utilisent l’IA au travail. La moitié d’entre eux (47 %) estiment aussi avoir besoin de compétences supplémentaires et même avec un bon prompt, une vérification humaine reste nécessaire. Ces connaissances en écriture de prompt ne sont pas encore clairement identifiées par les recruteurs même si c’est une compétence qui sera de plus en plus recherchée.
Savoir écrire un prompt : l’expertise IA qui fera « de plus en plus la différence » entre les salariés
Article Les Échos publié le 07/02/2025

Stressant

Le dernier baromètre Nomad Education dresse un état des lieux des aspirations professionnelles de la Gen Z. 61 % des jeunes veulent exercer un métier qui a du sens, aussi bien pour eux-mêmes que pour la société et 34 % d’entre eux placent l’équilibre vie pro / vie perso en tête de leurs critères, devant la rémunération (28 %). Si 70% des étudiants jugent le monde du travail stimulant, ils le perçoivent aussi comme exigeant, compétitif et stressant (80%).
Les jeunes et le travail 
Baromètre Nomad Education et Groupe Actual publié le 11/02/2025

IA vs Jeunes diplômés

Selon une étude de la Hult International Business School, 37% des recruteurs américains affirment privilégier le déploiement d’une intelligence artificielle (IA) au recrutement d’un jeune diplômé. 96% d’entre eux estiment que les universités ne préparent pas efficacement les étudiants à leurs futures responsabilités. Contrairement aux salariés, une IA ne prend pas de congés, ne demande pas de salaire et ne commet pas d’erreurs humaines. Une tendance critiquée par certains experts qui remarquent que les entreprises se servent de l’IA pour éviter d’investir dans la formation.
Emploi : quand l’IA se substitue aux jeunes diplômés
Article Capital publié le 02/02/2025

Par |2025-03-13T09:59:06+00:00mars 13th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Janvier2025

Revue de presse

Tendances, équilibre pro/perso, amitié au bureau, paternité… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en janvier 2025.

Motivations

La 22e édition de l’étude Workmonitor de Randstad, qui a interrogé 27 000 travailleurs dans 35 pays dont la France, place l’équilibre pro/perso comme le principal facteur de motivation au travail. En France, les travailleurs accordent plus d’importance au soutien à la santé mentale (81%) qu’à la rémunération (80%) ou à la sécurité de l’emploi (78%). Autre enseignement de l’étude, les salariés aspirent davantage à trouver du sens et du lien social dans leur vie professionnelle.
L’équilibre pro/perso, premier facteur de motivation au travail
Article Hello Workplace publié le 28/01/2025

Ami-Ami

D’après une étude Indeed – OpinionWay, six salariés du privé sur dix affirment avoir eu des « work besties », c’est-à-dire des collègues qui sont devenus de véritables meilleurs amis au travail. Ainsi, il apparaît que 69% des femmes salariées, contre 54% des hommes, et 81% des jeunes employés nouent des liens amicaux étroits avec leurs collègues. Ces relations renforcent le sentiment d’appartenance et favorisent un environnement de travail plus chaleureux et collaboratif.
Le phénomène “work bestie”
Article Mediavenir publié le 15/01/2025

Paternité et engagement

Une étude de la Drees – Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques – a interrogé les pères, deux ans après la naissance d’un enfant. Il en ressort qu’ils s’impliquent de manière « variable » à la maison et délaissent les tâches considérées comme peu gratifiantes. Si la plupart des pères soulignent que la naissance de leur enfant a été l’occasion d’une révision des priorités entre leur vie professionnelle et leur vie familiale, cette prise de distance a eu peu d’effets concrets sur leur engagement au travail.
Les pères privilégient toujours leur travail et les activités gratifiantes avec les enfants
Article France Bleu publié le 23/01/2025

Tendances 2025

Classées par thématiques, douze tendances RH sont à surveiller en 2025. Parmi elles, l’intelligence artificielle, les technologies immersives, le micro Learning et l’apprentissage à la demande feront partie des pratiques de formation. L’IA se met au service du recrutement et des processus de paie. En management, le rôle hiérarchique traditionnel, axé sur le contrôle, est remplacé par un leader bienveillant et empathique. Et enfin, au centre des tendances en QVCT, l’hyperpersonnalisation de l’expérience collaborateur avec notamment des congés supplémentaires, des formations ou des options de télétravail qui répondent aux attentes spécifiques de chacun.
Tendances RH 2025
Article Culture RH publié le 23/01/2025

Tendances 2025 Bis

Gymlib, a identifié dans un rapport les 4 tendances bien-être pour 2025 qui doivent être traitées par les entreprises. En première position, les troubles musculo-squelettiques exacerbés par la sédentarité et les mauvaises postures qui représentent un coût moyen d’absence de 4 000 euros par salarié et par an pour les entreprises. Viennent ensuite la santé mentale des actifs, particulièrement chez les jeunes, et les relations entre collègues. Et enfin la prévention de l’épuisement professionnel avec une plus grande vigilance ur l’équilibre vie pro/perso, davantage de flexibilité et de reconnaissance.
Santé : comment prévenir l’épuisement des salariés en 2025 ?
Article Be A Boss publié le 28/01/2025

Par |2025-02-26T10:05:14+00:00février 26th, 2025|

7e Forum – Les temps forts en images

Le vendredi 29 novembre 2024, près de 100 personnes ont assisté au 7eForum de l’Observatoire sur le thème « Panorama des formes d’engagement et de désengagement au sein des organisations : typologie, histoires de vie, et facteurs clés de désengagement ».

Restitution de l’étude en avant-première, témoignages forts et inspirants, regard de DRH, mise en perspective… La rencontre du Think Tank a fait un tour d’horizon sur l’engagement au travail lors d’une matinale.

Le Forum de l’engagement en images

Welcome par les fondateurs de l’Observatoire de l’Engagement : Fabienne Simon, Daniel Baroin et Geoffrey Carpentier
En 2024, l’Observatoire de l’engagement a fêté ses 10 ans.
Restitution de l’étude « Panorama des formes d’engagement : focus sur ce qui désengage dans nos organisations » par Serge Perrot , Professeur à l’Université Paris Dauphine
Restitution de l’étude « Panorama des formes d’engagement : focus sur ce qui désengage dans nos organisations » par Lionel Garreau, Maître de Conférences à l’Université Paris Dauphine
Echo de l’international par Adèle Phung & Paul Tressens, Odyssée managériale
Questions – réponses
Témoignage inspirant en duo pour illustrer le vécu de l’engagement ou… du désengagement au travail par deux ex collaborateurs de Michelin
Jean-Michel Frixon, 43 ans de carrière en tant qu’ouvrier
Témoignage inspirant en duo pour illustrer le vécu de l’engagement ou… du désengagement au travail par deux ex collaborateurs de Michelin
Jean-Christophe Guérin, ex Directeur Industriel Groupe
Regard de DRH par Estelle Legrand, DRH Groupe Mersen – membre du Comité Exécutif
Regard de DRH par Laurent Nouri, VP Transformation Managériale, Groupe Mersen
Temps de mise en perspective et d’ouverture : la force de l’attention pour engager par Sophie Peters, spécialiste des relations au travail, coach et psychanalyste
L’équipe des fondateurs de l’Observatoire de l’engagement: Fabienne Simon, Daniel Baroin et Geoffrey Carpentier. Photos : © Vincent Boisot

Par |2025-02-06T10:32:05+00:00février 6th, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Décembre2024

Revue de presse

Entretien annuel, temps partiel, animations de Noël… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles ou enquêtes, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en décembre 2024.

Fatigue informationnelle

Selon les résultats de l’enquête de la Fondation Jean-Jaurès et Arte une fatigue informationnelle émerge chez les actifs qui font face à un trop-plein d’informations. Avec le développement des technologies numériques, un salarié sur quatre y est confronté dans son travail, soit près de 7,5 millions de Français. Les salariés passent un septième de leur temps de travail chaque jour à répondre à des e-mails. Ils en reçoivent en moyenne 160 par semaine et 225 pour les cadres. Ces interruptions entraînent des difficultés de concentration chez un tiers des actifs interrogés et des conséquences négatives : morcellement des tâches, difficulté à planifier sa charge de travail, sentiment d’urgence permanent …
Les Français et la fatigue informationnelle au travail
Enquête de la Fondation Jean-Jaurès et Arte publiée le 16/12/2024

Temps partiel

Selon une note de la Dares, 17,4 % des salariés occupent un emploi à temps partiel en 2023. Les jeunes et les seniors sont plus souvent à temps partiel que les salariés d’âge intermédiaire. Mais quel que soit l’âge, le travail à temps partiel est moins fréquent chez les hommes que chez les femmes (77%). Les jeunes ont davantage recours au temps partiel pour suivre des études ou une formation. Ils travaillent en moyenne un peu plus de 18 heures par semaine, moins que les seniors (environ 20,5 heures) et les personnes d’âge intermédiaire (près de 25 heures).
Quelle organisation du temps de travail pour les salariés à temps partiel ?
Étude DARES publiée le 11/12/2024

Incompréhension

D’après une étude OpinionWay pour Skillup, les salariés ont de fortes attentes en termes de reconnaissance et de personnalisation des retours de leur hiérarchie pendant l’entretien annuel. L’étude révèle aussi chez les salariés, un désir prégnant de comprendre la manière dont ils sont évalués. A l’inverse, deux tiers des RH estiment que leurs collaborateurs souhaitent avant tout profiter de ce temps fort de l’année pour échanger sur leur rémunération. 82% pensent que ce moment est propice à une discussion ouverte et transparente. Et, finalement, 37% des salariés interrogés se disent prêts à quitter leur entreprise si leur entretien annuel ne se passe pas comme ils le souhaitent.
Ce que les salariés attendent de leur entretien annuel
Article Helloworkplace publié le 11/12/2024

Satisfaction en hausse

Selon l’enquête Global Workforce Hopes and Fears 2024 de PwC, 62 % des salariés dans le monde (48 % en France) déclarent avoir connu des changements significatifs dans leur environnement de travail. Ces évolutions, souvent synonymes d’adaptations complexes, s’accompagnent d’une hausse notable des charges de travail : 45 % des employés français et internationaux rapportent une augmentation de leurs responsabilités au cours de l’année écoulée. Malgré ces bouleversements, l’étude révèle aussi une amélioration de la satisfaction au travail. 74 % des salariés se déclarent satisfaits de leur emploi, une hausse de 3 points par rapport à 2023.
Les salariés face aux transformations majeures
Article ITG publié le 12/12/2024

La magie de Noël

Selon une étude de Deskeo, 87 % des entreprises élaborent un plan Noël avec des animations événementielles. 79 % organisent un repas de Noël (goûter, diner, déjeuner), 37 % des répondants participent à un Secret Santa au bureau et 19 % des répondants participent à la journée du pull de Noël. Si un tiers des salariés ressentent une amélioration des relations entre collègues pendant cette période, ils sont 25 % à penser que l’effet de cohésion renforcée est raté.
Ambiance de Noël au travail : la magie opère toujours pour détendre la gestion RH
Article RH matin publié le 18/12/2024

Par |2025-01-22T10:43:08+00:00janvier 22nd, 2025|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Novembre2024

Revue de presse

Télétravail, sujets RH, formation… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en octobre 2024.

Pratique du télétravail

Trois ans après la fin de la crise sanitaire, la Dares une branche du ministère du Travail, a mené une vaste enquête auprès de 38 000 salariés. Entre 2019 et 2023, la part des personnes salariées pratiquant le télétravail au moins occasionnellement passe de 9 % à 26 %. La progression du télétravail est majoritairement portée par les cadres. Elle s’accompagne aussi d’une représentation accrue des femmes, des jeunes et des plus diplômés parmi les télétravailleurs. En 2023, environ un tiers des salariés souhaitent continuer ou commencer à télétravailler.
Comment évolue la pratique du télétravail depuis la crise sanitaire ?
Étude DARES publiée le 05/11/2024

Télétravail et télétravailleurs

D’après une seconde étude de la Dares, les télétravailleurs ont davantage d’autonomie et travaillent de manière moins intense lorsqu’ils sont à distance plutôt que sur site. En revanche, le soutien qu’ils peuvent obtenir de leurs collègues ou supérieurs est réduit. C’est particulièrement le cas dans la fonction publique. Parmi les salariés dont le poste se prête au télétravail, ceux qui le pratiquent jouissent en moyenne de meilleures conditions de travail que les non-télétravailleurs. La pratique du télétravail favorise l’articulation entre vie privée et vie professionnelle, surtout pour les hommes. Les télétravailleurs sont globalement en meilleure santé, ils sont moins fréquemment malades et continuent davantage de travailler lorsqu’ils sont malades : ce présentéisme concerne surtout les femmes.
Le télétravail améliore-t-il les conditions de travail et de vie des salariés ?
Étude DARES publiée le 05/11/2024

Sujets RH prioritaires

L’Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines (ANDRH) a sondé les attentes de ses 6 000 adhérents. La simplification des processus administratifs et règlementaires est l’attente prioritaire de 67 % des DRH. 77 % des répondants appellent les pouvoirs publics à des initiatives novatrices en faveur de l’emploi des seniors et la création d’un CDI senior. L’enquête souligne aussi l’impact de l’accès au logement sur le recrutement. Il est identifié comme un frein au recrutement par 26 % des DRH, en particulier dans les régions touristiques. Les questions de santé au travail montent aussi en puissance avec un accent mis sur l’usure professionnelle et l’absentéisme.
L’ANDRH révèle les priorités des DRH 
Enquête ANDRH publiée le 13/11/2024

Que veulent les jeunes ?

La Fondation Jean-Jaurès et la Macif ont réalisé avec l’institut BVA Xsight une vague d’enquête auprès des jeunes Français de 18 à 24 ans. Interrogés sur le rôle principal d’une entreprise, les jeunes considèrent que l’entreprise doit servir avant tout à créer de l’emploi et à embaucher des gens (45%), suivi de près par le fait d’être utile pour la société (43%). Pour près d’un jeune sur trois, les entreprises doivent également donner les moyens à leurs salariés de s’épanouir professionnellement et doivent s’engager en priorité pour améliorer les conditions de travail. Les jeunes continuent de penser que la place accordée à la parole et à la participation des salariés est ce qui manque le plus aujourd’hui dans l’entreprise.
Baromètre d’opinion sur les jeunes et l’entreprise
Enquête de la Fondation Jean-Jaurès et la Macif publiée le 22/11/2024

Travailleurs de terrain

L’IFOP a mené une enquête auprès d’un échantillon de 1000 personnes, représentatif des « front line workers », c’est-à-dire des salariés qui n’ont pas une position de travail bureautique ou bien qui sont au contact du public. Pour la quasi-totalité de ces travailleurs de terrain, le terme formation renvoie à l’acquisition de compétences professionnelles, à la fois pour évoluer dans sa carrière (81%) et pour gagner en efficacité dans les tâches du quotidien (72%). La formation a pour avantage de motiver et de fidéliser. En effet, 80% se sentent progresser et évoluer dans la durée et 76% estiment que cela leur permet de se projeter dans leur entreprise. Pour 72% des personnes interrogées, l’offre de formations pourrait les convaincre de rejoindre une entreprise.
Les populations terrain et leur accès à la formation
Enquête IFOP publiée le 05/11/2024

Par |2024-12-19T08:39:50+00:00décembre 19th, 2024|
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