La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Janvier2023

Revue de presse

Rapport au travail, blues hivernal, perspectives 2023… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en janvier 2023.

Le blues du businessman

Au mois de janvier, la bonne humeur des collaborateurs est parfois absente. En cause : un léger passage à vide fruit d’une équation tenant compte du manque de lumière du jour associé à la nostalgie des fêtes de fin d’année. Le blues hivernal est une forme de dépression saisonnière, caractérisé par une tendance à ressentir une grande fatigue et un manque d’entrain. Typiquement, au travail, les salariés font face à des difficultés pour se concentrer, à une certaine irritabilité, voire à une forte tristesse. 5 astuces pour les aider à repartir du bon pied : organiser un événement convivial, mettre à disposition une salle de détente, lancer de nouveaux outils de communication interne, offrir aux équipes des services additionnels (pressing, crèche…) et mettre en place des actions éco-responsables.
2023 : les astuces pour repartir sur de bons rails au bureau
Article Les Échos publié le 11/01/2023

Je t’aime… moi non plus

Selon une étude de l’Ifop pour la Fondation Jean Jaurès sortie hier, 61 % des salariés en France préfèrent gagner moins d’argent, mais avoir plus de temps libre. Ils étaient 38 % en 2008. Plusieurs hypothèses relayées dans les médias ont été avancées pour expliquer la désaffection des salariés envers leur travail : déficit d’implication, culte de l’individu roi avant tout attaché aux loisirs, émergence d’une société de paresseux par rapport aux générations précédentes… L’analyse « Je t’aime, moi non plus : les ambivalences du nouveau rapport au travail » vise à revenir sur les origines à court et long terme du nouveau rapport au travail et sur la façon dont l’expérience de travail se vit dorénavant au quotidien.
Je t’aime, moi non plus : les ambivalences du nouveau rapport au travail 
Focus Ifop à télécharger du 24/01/2023

Plus de communication, moins d’insatisfaction

L’enquête « Global benefits attitude » menée par WTW auprès de 35 000 salariés dans le monde recèle d’enseignements. Plus les avantages sociaux répondent aux besoins des employés, mieux ils se sentent au travail. En effet, les employeurs ayant le mieux communiqué vers leurs salariés ont permis à ces derniers de prendre vraiment conscience des avantages dont ils disposaient. L’enquête révèle aussi que 44 % des collaborateurs insatisfaits en la matière songent à changer d’entreprise. Et le chiffre tombe à 22 % lorsqu’ils se disent satisfaits des avantages proposés. Les principales préoccupations sont les dispositifs de retraite, la flexibilité au travail, l’investissement dans la progression de carrière et enfin la protection sociale.
Avantages sociaux, un levier pour fidéliser ses salariés ?
Article Focus RH publié le 24/01/2023

Des dirigeants dans l’expectative

Selon le Baromètre des Entreprises françaises, publié par Eurogroup Consulting pour BFM Business, 75% des dirigeants français se disent être dans l’expectative (incertitude, préoccupation ou pessimisme). Les défis majeurs : l’adaptation aux crises successives (84 %) et la réussite des transitions énergétique et écologique (76 %). Pour traverser cette période incertaine, les principaux leviers d’action utilisés pour développer l’engagement des salariés seront le maintien d’un juste niveau de rémunération (34 %), l’équilibre entre engagement professionnel et personnel (23 %), le développement des compétences managériales (20 %) et le développement de méthodes de travail plus agiles (19 %). La fidélisation des équipes est jugée prioritaire, avant le recrutement (62 %).
Baromètre des entreprises 2023 : entre préoccupations des dirigeants et attentes des salariés
Article Courrier cadre publié le 05/01/2023

Des RH dans l’incertitude

Comment les professionnels RH ont vécu l’année 2022 ? Quelles sont leurs perspectives personnelles et professionnelles pour 2023 ? Les résultats de la 3e édition du baromètre annuel « Professionnels RH, comment allez-vous ? » affichent une note de moral de 5,4/10 globalement satisfaisante en 2022, même si en légère baisse par rapport à 2021 (5,7 en 2021). Pour ce qui est de leurs perspectives 2023, ils restent prudents et placent l’année 2023 sous le signe de l’incertitude avec une charge de travail qui restera très importante dans les mois à venir. Bref, une année qui s’annonce comme laborieuse et incertaine.
Enquête « Professionnels RH : comment allez-vous ? » : les résultats 2023
Enquête Gereso publiée le 05/01/2023

Par |2023-02-28T09:47:32+00:00février 28th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Décembre2022

Revue de presse

Dirigeant inspiré, interruptions au travail, jeune diplômé… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en décembre 2022.

Dans la tête d’un jeune diplômé

L’institut BVA a sondé un échantillon représentatif de 800 jeunes âgés de 18 à 24 ans pour comprendre quelle était la réalité de l’engagement au sein de la jeunesse française. On y apprend notamment qu’un jeune sur cinq (21%) déclare avoir déjà renoncé à un travail ou une proposition d’emploi en raison de ses convictions ou de son engagement. Et contrairement aux idées reçues, l’environnement n’est pas la première raison mise en avant par les déserteurs : c’est le manque d’engagement personnel de la part des dirigeants de l’entreprise (38%) qui est le plus cité.
Les jeunes et l’engagement, le choix d’une vie ?
Article BVA publié le 08/12/2022

#VendrediLecture

Un collectif de DRH engagés dans la mise en œuvre de la responsabilité écologique et sociale de leurs groupes a réuni les enseignements qu’ils ont tirés de leur propre expérience. De leurs réflexions est né un livre collectif Le Sens. ADN de l’entreprise responsable aux Éditions Diateino. Morceaux choisis : « Croire au produit, c’est déjà trouver du sens » DRH d’Airbus. « Si déjà toutes les entreprises permettaient à leurs salariés de comprendre pourquoi ils se lèvent le matin, un stade important serait franchi » DRH de Nexans. « Ce n’est pas le baby-foot qui va rendre les employés heureux » DRH d’Air Liquide…
Dirigeants en quête de sens
Article Les Échos publié le 05/12/2022

Avez-vous un bon IBETSCORE ?

Le cabinet Mozart Consulting a établi un indice IBET, acronyme d’Indice de Bien-Être au Travail, et un outil de mesure en IBETSCORE en exploitant des données publiques et privées. L’IBET permet d’évaluer l’engagement réciproque des parties prenantes (salariés, managers) et de fournir des indicateurs préalables à la mise en place d’actions d’accompagnement dédiés au projet de Santé, Qualité de Vie et Conditions de Travail. En 2022, la moyenne nationale de l’IBET est évaluée à 0,81 en hausse par rapport à 2021 et le coût moyen annuel du désengagement en SQVCT est évalué à 10 070 €. Depuis 2011, année de création de l’IBET, c’est la filière industrielle qui a toujours le meilleur indice.
Bien-être au travail en France : pourquoi la situation s’améliore selon l’IBET 2022
Article RH Matin du 22/12/2022

Je peux vous interrompre 2 minutes ?

Les interruptions au travail pourraient-elles avoir des aspects positifs ? La réponse à cette question n’est pas si simple, mais la recherche en sciences cognitives pourrait apporter quelques éclaircissements. Dans une majorité des cas, être interrompu ou interrompre soi-même sa tâche en cours fait perdre en efficacité. Il semblerait également que subir de nombreuses interruptions au quotidien et pratiquer le multitâche avec plusieurs outils de communication réduit notre engagement au travail. Pourtant, une équipe de recherche montre qu’être interrompu par une tâche simple altère moins l’efficacité qu’une tâche complexe. De même, une tâche courte (quelques secondes) sera moins délétère par rapport à une tâche plus longue (plusieurs minutes). Et enfin, une interruption peut être une source d’interactions sociales qui nous aident au travail.
Interruptions au travail : faut-il toutes les éviter ?
Article L’Usine Nouvelle publié le 26/12/2022

Portrait type d’un dirigeant apte à donner du sens

De nombreuses études ont montré que les dirigeants jouent un rôle clé pour aider les employés à comprendre en quoi leur travail importe. Quatre traits de caractère déterminent la capacité d’un dirigeant à faire en sorte que le travail de ses subordonnés ait du sens à leurs yeux : ils sont curieux et concernés. Ils poussent leurs employés à ne jamais se satisfaire des résultats obtenus. Ils embauchent des individus dont les valeurs correspondent à la culture de leur entreprise. Et, enfin Ils savent faire confiance à autrui.
Comment booster l’engagement de son équipe
Article Harward Business Review du 16/12/2022

Par |2023-01-30T19:25:27+00:00janvier 30th, 2023|

La revue de presse du 6e Forum de l’Engagement #Décembre2022

Revue de presse

Le mardi 15 novembre 2022, le 6eForum de l’Observatoire a rassemblé près de 130 participants et journalistes sur le thème « Peut-on encore agir en collectif à l’ère de l’individu roi ? ». Revue des articles sur la rencontre annuelle du Think Tank sur l’Engagement au travail.

Interview de Fabienne Simon – cofondatrice de l’Observatoire de l’Engagement

L’enquête annuelle de L’Observatoire de l’Engagement révèle qu’à l’issue de la crise sanitaire, les salariés dans leur ensemble ne sont pas moins investis dans leur travail. Certaines catégories comme les managers augmentent même leurs scores d’engagement vis-à-vis de l’entreprise, des clients et de leur équipe. Quels sont les enseignements de la dernière enquête, publiée le 15 novembre ? Quelles différences de niveau d’engagement constate-t-on en fonction des statuts et de l’âge ?
« Chacun, quel que soit son métier, a besoin de considération »
Article Entreprise & Carrières publié le 21/11/2022

Interview de Geoffrey Carpentier – cofondateur de l’Observatoire de l’Engagement

L’Observatoire de l’Engagement s’est donné pour mission de favoriser les échanges, la veille et l’analyse sur le thème de l’engagement au travail avec l’ensemble des parties prenantes. Sa nouvelle enquête effectuée avec OpinionWay et l’Université de Paris-Dauphine, qui repose sur une étude à la fois quantitative et qualitative, montre que l’engagement des salariés au travail est une question bien plus complexe que certains veulent bien le penser. Le cofondateur de l’Observatoire, Geoffrey Carpentier, nous explique pourquoi…
Geoffrey Carpentier (L’Observatoire de l’Engagement) « Le rapport de force sur le marché du travail entre les employeurs et les employés s’est inversé »
Article INFLUENCIA publié le 17/11/2022

Interview de Lionel Garreau membre du comité d’orientation de l’Observatoire de l’Engagement

La crise sanitaire a eu des impacts sur notre rapport au monde du travail. Ce n’est plus le projet porté par l’entreprise qui compte, mais le projet personnel. Lionel Garreau, membre du comité d’orientation de l’Observatoire de l’Engagement a répondu aux questions de Muriel Reus dans son émission hebdomadaire La Force de l’Engagement sur Sud Radio.
La force de l’engagement 
Émission Le force de l’engagement sur Sud Radio diffusée le 27/11/2022

Une enquête édifiante

L’enquête menée par OpinionWay pour l’Observatoire de l’Engagement explore les tendances et impacts perçus par les managers et les collaborateurs en matière d’engagement au travail. A la clé, des résultats contrastés, à contre-courant des idées reçues : alors même que l’individualisme prend de l’ampleur, l’étude montre le cas de collaborateurs davantage engagés au profit de leur équipe et non plus de l’entreprise.
Engagement au travail : une enquête édifiante
Article People at Work

Les leçons de l’enquête Observatoire de l’engagement-OpinionWay-Paris Dauphine

Trois ans après le début de la crise sanitaire, l’enquête menée par OpinionWay pour l’Observatoire de l’engagement explore les tendances et impacts perçus par les managers et les collaborateurs en matière d’engagement au travail. Les résultats sont contrastés. L’individualisme prend de l’ampleur, mais l’étude indique que les collaborateurs sont plus impliqués dans leur équipe que dans l’entreprise.
Engagement au travail : Les leçons de l’enquête Observatoire de l’engagement-OpinionWay-Paris Dauphine
Article Gestion Sociale publié le 15/09/2022

En 2022, des salariés plus engagés pour leur équipe que pour leur entreprise

Après la crise sanitaire, les entreprises font face à de nouvelles incertitudes. Face à l’inquiétude des salariés sur leur pouvoir d’achat et leur bien-être au travail, les sociétés redoublent d’efforts pour proposer de nouveaux leviers d’engagement au travers d’une promesse employeur tangible.
En 2022, des salariés plus engagés pour leur équipe que pour leur entreprise
Article AEF INFO publié le 15/11/2022

Par |2022-12-19T19:45:54+00:00décembre 19th, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Octobre2022

Revue de presse

Travail à la carte, journée fragmentée, démission, reconnaissance… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en octobre 2022.

La fin du Métro, boulot, dodo

Distanciel, flex-office et pandémie ont fait émerger une nouvelle palette de modèles de travail et, notamment, la « journée de travail fragmentée ». Les salariés qui exercent une partie de leurs fonctions à distance, ont changé les créneaux horaires au cours desquels leur travail est réalisé. Les temps (dédiés à la famille, aux loisirs et au travail) se mélangent lorsqu’on travaille de chez soi, car il y a davantage une obligation de résultats que de moyens. Face à une main-d’œuvre en quête de flexibilité et d’autonomie, ces journées de travail non-linéaires sont vouées à gagner en popularité.
Travail fragmenté : comment le Covid a fait éclater le modèle de certains salariés
Article Les Échos publié le 29/10/2022

Ce que veulent les jeunes

Un travail à la carte, une quête d’épanouissement et d’équilibre vie professionnelle / vie personnelle. Un sondage OpinionWay réalisé pour Le Parisien Économie et Indeed s’intéresse aux attentes des jeunes quant à leur avenir professionnel. Et, ils sont 53% à donner la préférence à un travail sans horaires établis. 72%, des 18-30 ans, n’ont rien contre le fait de travailler le samedi ou le dimanche s’ils peuvent récupérer leurs jours en semaine. Ils confirment aussi leur attrait pour une carrière moins conventionnelle que celles de leurs aînés. À 53 %, ils imaginent qu’elle se fera dans différentes entreprises, que ce soit pour exercer différents emplois (27 %), ou le même (26 %).
Etude Indeed – Le travail semble être une activité ‘à la carte’ pour les jeunes
Article Presse Agence publié le 29/10/2022

Ce que pensent les femmes

Épuisées au travail, sous pression à la maison, de plus en plus de femmes managers démissionnent selon rapport Women in the Workplace 2022, publié par McKinsey et LeanIn. Menée sur la base d’informations communiquées par 333 entreprises, employant 12 millions de salariés américains et canadiens, l’étude montre que les top managers claquent la porte en masse. Ce qui les pousse à partir ? D’abord, elles doivent lutter plus que les hommes pour s’affirmer dans l’entreprise. Ensuite, elles estiment consacrer beaucoup plus de temps et d’énergie au bien-être, à l’égalité et à la diversité des équipes, sans en tirer de reconnaissance. Les cadres dirigeantes attendent une meilleure prise en compte de leur bien-être, de la diversité et de l’inclusion. Elles sont 1,5 fois plus nombreuses que leurs collègues masculins à avoir quitté leur poste pour cette raison.
L’effet cocotte-minute : jamais autant de femmes managers n’ont claqué la porte
Article Madame Figaro du 19/10/2022

Le rapport Women in the Workplace 2022 en intégralité en version originale

Comment ça va au travail ?

Publiée en octobre, une enquête IFOP pour Les Makers s’intéresse à l’état d’esprit des Français au travail. Ainsi, on apprend que 51% des salariés s’impliquent beaucoup dans leur travail, alors que 45% disent faire juste ce qu’il faut. La part des actifs qui reconnaissent en faire très peu reste marginale (4%). En parallèle, 45% des salariés interrogés travaillent exclusivement pour le salaire qu’ils en retirent et 54% considèrent que le travail est avant tout une contrainte plutôt qu’une source d’épanouissement. Selon l’étude, seul 13% des salariés considèrent qu’ils tirent un bénéfice de leur engagement dans leur entreprise.
Les Français et le Travail – 7 chiffres clés en 2022
Enquête IFOP pour Les Makers publiée le 20/10/2022

Ne partez pas sans

Six conseils faciles pour améliorer les signes de reconnaissance du travail, levier majeur pour retenir les talents. Valoriser les efforts et pas uniquement les résultats. Témoigner de la considération : remercier, féliciter ! Permettre aux salariés de se projeter dans l’entreprise. Encourager la prise d’initiatives. La reconnaissance ne vient pas que du manager, créer une dynamique collective.
6 moyens pour aider mon manager à mieux reconnaître mon travail
Article Les Échos Start du 25/10/2022

Le nouveau rôle central des managers et l’enjeu de la reconnaissance au travail
Analyse IFOP en partenariat avec La Fondation Jean Jaurès publiée le 14/09/2022

Par |2022-11-10T09:05:26+00:00novembre 3rd, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Septembre2022

Revue de presse
Télétravail, pause, dissonance cognitive, désengagement… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en septembre 2022.

Retour au bureau

De nombreux dirigeants sont attentifs à la façon dont les grandes entreprises technologiques réagissent face à l’inflation et à une éventuelle récession économique. Selon un rapport A.Team et MassChallenge, certains employeurs pourraient profiter de l’incertitude pour inverser – ou du moins limiter – le télétravail. En effet, 55 % des responsables technologiques prévoient de demander à leur personnel de travailler davantage depuis leur bureau au cours des 12 prochains mois. De plus, 53 % des dirigeants estiment qu’un ralentissement économique « faciliterait le retour des employés au bureau ».
Télétravail : l’heure du grand retour sur site a-t-elle sonné ?
Article ZDnet du 19/09/2022

Une pause-café ?

91% des travailleurs font au moins une pause alimentaire pendant leur journée de travail. C’est ce qui ressort d’une étude Opinionway pour la marque Innocent. Près de huit actifs sur dix estiment que sans les pauses, ils « seraient moins efficaces dans leur travail » et 15% affirment que cela leur permet d’être plus créatifs. La pause est jugée essentielle sur le plan mental (81%) et sur le plan physique (76%). « Elle permet de parler d’autre chose que du travail avec ses collègues (81%) et contribue à la bonne ambiance dans l’équipe (81%) ».
Pauses déj, café, thé, goûter… Incontournables au boulot
Article CBNEWS publié le 27/09/2022

L’idée shopping de la rentrée

D’après une étude réalisée par Fleet, 37% des salariés interrogés travaillent avec un ordinateur vieux de plus quatre ans. En cause, la vieillesse du parc qui a tendance à empoisonner la vie des salariés. Une mauvaise expérience numérique au travail qui pourrait pousser 28 % des salariés de 25 à 34 ans à quitter leur emploi selon une autre étude du cabinet Vanson Bourne pour Nexthink. Après le manque de rémunération/perspective d’évolution et la culture d’entreprise toxique, les problèmes liés à la technologie apparaissent comme la troisième cause de burnout.
Vieux ordis, Wi-Fi défaillant… La majorité des salariés en télétravail se plaignent de leur matériel informatique
Article 20minutes publié le 19/09/2022

Présent, absent ou désengagé ?

42% des salariés se sont vu prescrire un arrêt maladie en 2022 d’après le Baromètre Absentéisme annuel de Malakoff Humanis. L’analyse des données met en lumière une augmentation du désengagement avec un impact significatif sur l’absentéisme. En moyenne, sur la période 2018/2022, près de 4 salariés sur 10 se déclarent « pas ou peu engagés dans leur travail ». Même si 65% des dirigeants déclarent avoir mis en place au moins un dispositif de lutte contre l’absentéisme, la moitié des salariés peu engagés ont été arrêtés au cours de l’année.
L’absentéisme maladie, un sujet de plus en plus préoccupant
Baromètre Absentéisme Malakoff Humanis publié le 08/09/2022

Il faut s’y mettre sérieusement

Le cabinet de conseil Imagreen et l’institut Kantar ont publié un premier baromètre faisant le lien entre l’inaction climatique des entreprises et le désengagement des salariés. Sans surprise, 9 salariés sur 10 trouvent la situation sociale et environnementale très préoccupante. Mais surtout, 4 salariés sur 10 se sentent en pleine dissonance cognitive entre leurs convictions personnelles et leur quotidien en entreprise. Autrement dit, leur emploi va à l’encontre de leur sensibilité écologique. Pour 75% d’entre eux cette dissonance est un facteur de désengagement du projet de l’entreprise. L’étude estime à 2,3 millions le nombre de salariés désengagés pour ce motif.
Inaction climatique et stratégie RSE : des salariés pointent du doigt leur entreprise
Article Ekopo du 08/09/2022

Par |2022-10-13T07:23:07+00:00octobre 13th, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Été2022

Revue de presse

Conversation, vague de démissions, mesures écologiques… L’Observatoire a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juillet et en août 2022.

Un grand besoin de décompresser

Selon une étude du groupe Malakoff Humanis, les moins de 30 ans semblent plus fragiles que le reste des salariés. 23% des salariés de moins de 30 ans jugent négativement leur santé mentale (vs 16% pour l’ensemble des salariés). 48% d’entre eux déclarent mal dormir (vs 32% de l’ensemble des salariés), 42% se disent stressés (vs 28% de l’ensemble des salariés), et 34% sont émotionnellement épuisés (vs 22% de l’ensemble des salariés), voire à bout de force (29% vs 19%). En cause, l’intensité et le temps de travail (pour 67% d’entre eux), ou les rapports sociaux au travail dégradés (47%).
Arrêt maladie et santé mentale, les jeunes actifs les plus touchés
Étude Malakoff Humanis publiée le 05/07/2022

Prendre le temps de converser

Le « small talk », les petites conversations anodines pourtant reconnues comme favorisant le business et les liens, a quasiment disparu avec l’augmentation du télétravail. Pourtant, converser favorise la confiance et la sécurité psychologique, qui sont des points d’attention pour les entreprises. Pour faire une place à la conversation, des « stay interview » sont organisées aux États-Unis, alors que d’autres managers organisent des « déambulations » en équipe à l’extérieur à la façon des philosophes pour favoriser le dialogue.
Plaidoyer pour la réhabilitation de la conversation en entreprise
Article L’Express publié le 20/08/2022

Attention à la vague

Selon le service statistique du ministère du Travail, 520 000 personnes ont démissionné au premier trimestre 2022, dont 470.000 en contrat à durée indéterminé (CDI), soit quatre démissions par minute. Le phénomène s’explique par la forte demande d’embauche de la part des entreprises qui crée des opportunités pour les salariés déjà en poste. D’ailleurs, environ huit démissionnaires de CDI sur dix retrouvent un emploi dans les six mois.
Emploi : la France face à une vague de démissions inédite ?
Article TF1 Info publié le 20/08/2022

Se mettre au vert

43 % des travailleurs français estiment que leur entreprise est « honteusement » peu respectueuse de l’environnement d’après la nouvelle étude « Tork Eco-Office », menée auprès de 2 000 employés de bureau. 22 % ne sont pas sûrs que leur direction sache réellement comment mettre en œuvre de bonnes mesures écologiques, et 29 % se disant convaincus qu’elle ne semble pas du tout se soucier de la planète. En conséquence, ils sont 20 % a envisagé de quitter leur emploi en raison du manque de pratiques écologiques sur leur lieu de travail.
Qu’attendent les salariés de leurs entreprises en matière de développement durable ?
Article Republik Workplace du 31/08/2022

Ralentir !

« Quiet quitting » ou « démission silencieuse » est un nouveau phénomène dans le monde du travail et une tendance popularisée sur les réseaux sociaux qui dépasse les 40 millions de vues sur TikTok. Cette nouvelle approche du travail, strictement minimaliste, qui consiste à faire ce que prévoit la fiche de poste de son emploi, et rien de plus. Il s’agit de poser des limites sans accorder une place trop importante au travail. Une pratique qui pose la question de l’engagement au travail.
Quiet quitting, cette nouvelle tendance qui consiste à ne faire que le strict minimum au travail
Article Ouest France du 25/08/2022

Par |2022-09-06T08:59:15+00:00septembre 5th, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Juin2022

Revue de presse

Quête de sens, génération Z, grandes entreprises… L’Observatoire a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juin.

Le rapport Gallup est paru

Le cabinet conseil américain, Gallup, a publié son dernier rapport State of the Global Workplace. Parmi les 38 pays sondés, la France compte seulement 6% de salariés qui se disent engagés dans leur travail. C’est la Roumanie domine le classement avec un taux de 33%. Pourtant, quand ils sont interrogés sur leur niveau de satisfaction dans leur vie en général, 43% des Français s’estiment épanouis.
Les Français très peu “engagés” dans leur travail, mais…
Article Boursier.com publié le 18/06/2022
State of the Global Workplace

Comment fidéliser la génération Z ?

Née après 1995, la génération Z impose une remise en cause des pratiques de management dans les entreprises. En tête des préoccupations : quels leviers activer pour fidéliser les jeunes ? Le bien-être avec une meilleure prise en compte des préférences en matière d’horaires de travail. La recherche d’authenticité et d’affectivité avec, notamment, le développement de la RSE. L’utilisation des méthodes faisant appel à la co-création et à la responsabilisation (empowerment) des salariés et enfin, l’ultra connexion et le partage, qui s’appuie sur une adaptation de l’espace de travail à la fois numérique et physique.
Équilibre de vie, sens, éthique… Les nouvelles clés pour fidéliser les jeunes en entreprise
Article The Conversation publié le 12/06/2022

En quête de sens

Seulement 52% des salariés trouvent que leur travail est fortement porteur de sens. Réalisée par le centre de recherche de Moodwork, l’enquête montre que ce qui apporte du sens est le fait de trouver son travail intéressant (24,6%), d’avoir un travail utile à la société (13,2%) et qui permet d’améliorer ses compétences (10,1%). Moins les répondants déclarent trouver du sens dans leur travail, plus ils présentent des niveaux de stress élevés. A noter que pour 41 % des répondants la crise sanitaire a eu un impact positif sur le sens qu’ils donnent à leur travail.
Enquête Trouver du sens au travail : qu’est-ce que cela change ?
Article My Happy Job du 20/06/2022

Oui, la taille compte

La même question a été posée, à trois ans d’intervalle, par PageGroup un cabinet spécialisé dans le recrutement et l’intérim : À quoi ressemble le job idéal ? En 2019, le type d’entreprises préféré des Français était une PME. Trois ans plus tard et après la crise sanitaire, ce sont les grands groupes qui attirent les candidats et affichent la plus forte progression (+15 points par rapport à 2019). Des grandes entreprises d’autant plus attractives qu’elles proposent une grande part de télétravail à des candidats à la recherche de stabilité et de sécurité.
La crise sanitaire a accentué l’intérêt des Français pour les grandes entreprises
Article Le Figaro du 02/06/2022

Travailler à l’étranger sans quitter son emploi, c’est possible !

Selon un sondage OpinionWay réalisé pour Remoters, startup française spécialisée dans la location de logements pour travailleurs nomades, 35% des chefs d’entreprise estiment le recours au télétravail depuis l’étranger comme étant possible. 14% déclarent même avoir déjà organisé ce mode de travail. Ils y voient une source de motivation pour leurs salariés et espèrent développer l’attractivité de la marque employeur.
Un tiers des dirigeants favorables au télétravail longue distance
Article France Info du 07/06/2022

Par |2022-07-07T09:42:54+00:00juillet 7th, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mai2022

Revue de presse

L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre. Cadres, mutations du travail, enjeux RH… La revue de presse du mois de mai 2002.

Il y a fort à faire pour les entreprises cette année

Mercer, acteur majeur du conseil en ressources humaines, a mené une étude auprès de 11 000 salariés répartis dans 16 pays. Cette 7ème édition de l’étude sur les tendances mondiales en matière de talents, identifie 5 enjeux RH clés pour les entreprises après deux ans de crise sanitaire. Parmi les grandes tendances, les salariés souhaitent s’engager pour des entreprises qui reflètent leurs valeurs personnelles. 62% des professionnels RH prévoient un taux de turnover supérieur à la normale cette année, notamment chez les jeunes travailleurs et ceux du secteur digital. 24% des entreprises introduisent une stratégie visant à améliorer le bien-être mental ou émotionnel de leurs collaborateurs…
Les 5 priorités RH des entreprises françaises
Étude du cabinet Mercer publiée le 05/05/2022

Totalement paradoxal

Selon une étude de Randstad menée avec l’Ipsos, 86 % des cadres se disent satisfaits de leur situation professionnelle, pourtant un sur trois envisage de changer d’entreprise en 2022.
Conscients du dynamisme du marché du travail, les cadres sont en veille et ils sont très proactifs. Un niveau de rémunération plus avantageux, l’intérêt des missions, le sens et l’utilité du poste sont dans le Top 3 des critères des cadres en quête de nouvelles perspectives. Et sur la mobilité géographique la Bretagne et la Provence-Alpes-Côte-d’Azur figurent en tête du classement.
Plus d’un cadre sur trois envisage de changer d’entreprise en 2022
Première édition du Cadromètre Randstad Search-Ipsos publiée le 16/05/2022

Un bon niveau !

Deux ans après le début de la pandémie, l’éditeur de solutions SIRH Bodet Software en partenariat avec L’Usine Nouvelle, a souhaité mesurer les conséquences de la crise sanitaire sur l’engagement des salariés. Réalisé par Infopro Digital, auprès de 1 031 salariés, managers et responsables RH issus de tous les secteurs d’activités, le baromètre affiche un bon niveau d’engagement. 8/10 c’est le niveau d’engagement constaté par les répondants dans leur entreprise. Parmi ceux estimant que l’engagement des collaborateurs a augmenté, 42% estiment que le télétravail en est la cause. Mais, quasiment tous (97%), s’accordent pour dire que l’intérêt du poste représente le critère le plus important.
[Étude] L’engagement des salariés, un incontournable du monde d’après
Article de l’Usine Nouvelle du 05/05/2022

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Si on gagne au loto…

Près de 6 jeunes (15-34 ans) sur 10 n’arrêteraient pas de travailler s’ils gagnaient au Loto. Actual Group et BETC ont sondé 500 femmes et hommes pour analyser leur rapport au travail, leurs attentes, leurs besoins et leurs craintes professionnelles. Et, les trois quarts des 15-34 ans se disent fiers de parler de leur travail à leur famille, amis ou à des inconnus. L’aspect financier n’est pas non plus un argument suffisant pour les plus âgés puisque 57 % des répondants se disent « prêts à être moins bien payés pour un métier qui leur plaît vraiment ».
Six jeunes sur dix n’arrêteraient pas de travailler s’ils gagnaient au Loto
Article de Ouest France du 26/05/2022

Vous avez 4h

Le 11 et 12 mai, 136 466 candidats ont passé l’épreuve de spécialité de Sciences économiques et Sociales. Ceux qui ont pris le sujet B ont dû réfléchir aux mutations du travail et de l’emploi. À l’aide de deux arguments, montrez que le travail est source d’intégration sociale. À partir d’un exemple, vous montrerez que l’innovation peut aider à reculer les limites écologiques de la croissance. À l’aide d’un exemple, vous montrerez que l’action des pouvoirs publics en faveur de la justice sociale peut produire des effets pervers. Durée de l’épreuve : 4 heures.
Bac 2022 : le corrigé du sujet de Sciences Eco et sociales 
Article Le Parisien Étudiant du 12/05/2022

Par |2022-05-28T14:11:10+00:00mai 28th, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Avril2022

Favoritisme, sens, semaine de quatre jours, emploi des séniors… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en avril.

L’impact négatif du favoritisme en entreprise

Environ 700 salariés de cinq pays ont répondu à l’enquête d’Helena González-Gómez sur les pratiques RH qui s’appuient sur les relations plutôt que sur le mérite. C’est-à-dire quand les organisations privilégient les employés ayant des liens amicaux et familiaux avec le décideur. Comme le montre l’étude, la perception de ce favoritisme affecte l’engagement envers l’activité, l’entreprise et augmente le risque de quitter l’entreprise.
« Le piston affecte l’engagement des salariés », selon Helena González-Gómez
Article du 15/04/2022

Qu’est-ce qui a du sens ?

Selon une étude menée par l’école de commerce Audencia et Jobs that makesens, 92% des salariés s’interrogent sur le sens de leur activité. Contribuer aux enjeux de la transition écologique et/ou sociale, se sentir utile, appartenir à une organisation à impact positif sur la société et/ou la planète… Une quête qui en a amené une bonne proportion de salariés à changer de travail.
Emploi : les salariés plus que jamais en quête de sens après la crise sanitaire
Article du 04/04/2022

Une mauvaise idée !

Nombreux sont ceux qui décident de couper ponctuellement ou systématiquement leurs caméras pendant les réunions en visioconférence. Or, selon un sondage mené aux États-Unis par la société Vyopta, les décideurs ont tendance à les juger très sévèrement. 93% estiment que les personnes qui ne se montrent pas au cours des appels sont moins impliquées que les autres dans leur mission. Et ils sont tout aussi nombreux à penser que les employés qui coupent le son et la vidéo « n’ont probablement pas d’avenir à long terme dans leur travail ».
Télétravail : pourquoi éteindre sa caméra en réunion est un très mauvais choix
Article du 26/04/2022

De précieux atouts pour les entreprises

L’expérience, le savoir-faire, le recul… Les séniors sont de précieux atouts pour les entreprises et une réponse possible à la pénurie de candidats sur le marché de l’emploi. Si les moins de 35 ans envisagent plus facilement d’envoyer leur CV à d’autres employeurs depuis la crise sanitaire, les salariés de 50 ans et plus restent plus fidèles et apportent de la stabilité à une équipe.
Pourquoi recruter les seniors en période de crise ?
Article du 25/04/2022

Un record.

Soixante entreprises anglaises, rassemblant plus de 3 000 salariés, vont travailler un jour de moins par semaine et toucher le même salaire entre les mois de juin et de décembre. La plus grande expérience grandeur nature de passage à la semaine de quatre jours a été lancée par la Grande-Bretagne. La mesure des gains de productivité, bien être, absentéisme et toutes les conséquences de ce changement seront suivies par trois universités : Oxford, Cambridge et le Boston college, aux États-Unis.
Un nombre record d’entreprises britanniques se lancent dans une expérimentation de la semaine de quatre jours
Article du 06/04/2022

Par |2022-05-28T13:56:46+00:00mai 17th, 2022|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Décembre2019

Des salariés engagés, l’entretien annuel, le coworking… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 sujets en lien avec l’engagement des salariés dans les articles de la presse parus ces dernières semaines.

90 % des salariés français se disent engagés
Selon une récente étude menée par Atomik Research pour la plate-forme de gestion du travail collaboratif Wrike, 90 % des employés français se disent engagés envers leur entreprise. Parmi les 9 salariés français sur 10 qui se disent investis dans leur travail, 47 % font partie de l’entreprise depuis 10 ans ou plus. Les moteurs de cet engagement sont l’appréciation qu’ils ont de leur travail et de leur place dans la société (46 %), ensuite la bonne entente avec leurs collègues (41 %) et enfin la reconnaissance de leur travail par leur direction (22 %). A l’inverse les facteurs de désengagement avancés sont un salaire insuffisant (38 %), la non-reconnaissance du travail effectué (36 %) et le manque de visibilité sur son avenir dans l’entreprise (28 %). Des critères qui diffèrent de ceux avancés par les États-Unis, l’Allemagne, l’Australie et le Royaume-Uni, où 29 % des salariés expliquent aussi leur manque d’engagement par la surcharge de travail (contre 19 % en France).
Sens, relations avec les collègues, reconnaissance : les 3 moteurs d’engagement des salariés en France
Article du 16/12/2019

L’Hospitality Manager est le nouveau Chief Happiness Officer
La différence majeure entre le CHO et l’Hospitality Manager est dans l’opérationnel. Les collaborateurs sont dorénavant considérés comme des clients. L’Hospitality Manager veille au confort des occupants, valorise et diffuse la culture d’entreprise. Garant de la qualité de vie et d’usage des collaborateurs et des lieux, il contribue à faire du lieu de travail un véritable lieu de vie. C’est le référent unique, garant de la qualité de l’Expérience Collaborateur. L’Hospitality Manager intègre et coordonne l’action des prestations techniques, digitales et servicielles proposés aux collaborateurs autour de cinq compétences requises : la coordination, la définition d’un plan de communication des services auprès des collaborateurs, le suivi des actions, l’analyse et la force de proposition.
Nouveau management : Du Chief Happiness Officer A l’Hospitality Manager
Article du 23/12/2019

Les enseignements de la grève des transports  
La grève des transports en commun a débuté le 5 décembre 2019 et a engendré une nécessaire adaptation des entreprises et des salariés. Parmi les enseignements, les avantages du télétravail sont pointés : plus de concentration qu’en openspace, une meilleure productivité… Autre enseignement, être trop rigide peut démotiver les collaborateurs. Il vaut mieux être souple quitte à ce qu’ensuite, les salariés ou les employeurs constatent d’eux-mêmes les limites du télétravail. Ouvrir au télétravail, même pour des métiers pour lesquels ce n’était pas ouvert a permis de rassurer les collaborateurs pour montrer que son organisation devait être privilégiée. Pourtant, des salariés qui se sont mis par la force des choses en télétravail, se sont sentis un peu seuls, oubliés, derrière leur ordinateur par leur manager, lui-même sans doute dépassé par la gestion de toute cette équipe virtuelle.
7 enseignements pour les salariés et entreprises un mois après le début de la grève
Article du 06/01/2020

Du lien entre le coworking et l’engagement      
Coworking, sous-location de bureaux, ou encore pro-working : la mutualisation des espaces de travail ainsi que l’accès à un panel de services rendent ces modèles attractifs, et inspirent de plus en plus les salariés. D’après une étude du loueur de bureaux Regus, le business du coworking pourrait générer 123 milliards d’euros de revenus potentiels d’ici 2030 en France, à travers des gains de productivité, une optimisation des coûts, ainsi que les recrutements de jeunes talents. Ces modes de travail ont un impact sur le lien avec l’entreprise, car ils instaurent des valeurs de confiance et d’objectifs à atteindre, plutôt qu’un management présentiel. Ainsi, les managers ont tendance à mettre sur pied des événements afin de rassembler leurs équipes et de conserver le sentiment d’appartenance. Des recherches récentes démontrent aussi que la présence de tiers-lieux permettrait de réintroduire une plus grande satisfaction et engagement des salariés au travail.
Coworking, proworking : des alternatives pour loger ses équipes
Article du 20/12/2019

Des cas surprenants d’entretien annuel
Dans le festival d’initiatives pour remplacer l’entretien annuel, on trouve du bon comme des cas surprenants. La « technique de la chaise chaude » consiste à assoir au milieu d’une salle un salarié entouré des membres de son équipe. Il doit écouter ce que chacun pense de lui et de son travail, sans broncher. Un procédé d’évaluation collective efficace, paraît-il…
Dans une entreprise de services informatiques, les salariés ont découvert qu’ils étaient tous classés selon un « potentiel d’évolution » de A à D, dont ils n’avaient jamais eu connaissance. Autre problème : les appréciations générales inscrites dans les dossiers des collaborateurs ne correspondaient pas à celles communiquées lors des entretiens individuels. Chez Cap Gemini, les salariés peuvent en permanence solliciter ou recevoir des feed-back nominatifs de leurs collègues. Via la plateforme Perform, ces commentaires sont déposés, compilés, et peuvent être utilisés pour étayer une demande de promotion par exemple. Chez Allianz, les cadres dirigeants doivent se soumettre à l’avis de leur équipe. Quatre attitudes clés sont évaluées et une synthèse anonymisée est restituée au manager puis intégrée au calcul des bonus et des primes. Chez Alan, une start-up d’assurance santé en ligne, deux fois par an, chaque collaborateur choisit parmi tous ses collègues les membres d’un petit jury d’évaluateurs, de son N+1 à ses copains de cantine, pour juger son travail… et se prononcer sur son évolution possible de carrière. S’il cumule trois avis positifs sur quatre, son dossier passe en comité de promotion.
Jusqu’où l’évaluation au bureau peut-elle aller ?
Article du 06/01/2020

Par |2020-01-16T11:14:51+00:00janvier 16th, 2020|
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