Lu pour vous / La révolution des organisations

LA RÉVOLUTION DES ORGANISATIONS
Auteurs : Daniel Baroin, David Gateau
Éditeur : Pearson France
Date de parution : 01/02/2019
Préface : Pierre Deheunynck

En vente en ligne et en librairie.

Riche en analyses, observations et pistes de réflexions, illustré de nombreux exemples, cet ouvrage est l’outil indispensable pour repenser votre organisation.

 

Le résumé

Pas une semaine ne passe sans qu’un dirigeant, ou un nouveau rapport, ne mentionne les grandes mutations auxquelles sont confrontées les entreprises.Tiraillées entre les bouleversements générés par la transformation digitale, l’aspiration des salariés à travailler autrement et la demande d’une meilleure prise en compte des défis sociaux ou environnementaux, elles doivent aujourd’hui concilier progrès humain et performance durable.

Face à ces enjeux, l’accent est surtout mis aujourd’hui sur la réinvention du management. Mais quid des organisations ? Comment reconfigurer le design organisationnel et repenser l’architecture même de l’entreprise pour répondre aux usages des clients, aux attentes des collaborateurs et aux acteurs de son écosystème ?

Daniel Baroin et David Gateau, sur la base de leurs expériences en entreprise et dans le monde du conseil, commencent dans cet ouvrage par rappeler en quoi ces mutations de l’environnement sont accélératrices d’évolutions des organisations, pour expliquer ensuite comment les entreprises tentent de s’adapter en révolutionnant leur structure et leur manière de travailler.

Ils dégagent alors quatre dynamiques organisationnelles, qui sont les ferments de la transformation : la centricité client, le mode agile, l’innovation par les communautés et la réinvention des fonctions support. En découle une nouvelle architecture d’entreprise, en quatre pôles, adaptée aux enjeux de demain.

Les auteurs

Daniel Baroin est diplômé d’HEC et docteur en économie. Après avoir été directeur de l’organisation et de la formation du groupe Danone, Daniel a cofondé HR Valley, société de conseil spécialisée en développement des organisations, stratégie RH et management. Il est aujourd’hui senior advisor chez carewan by KPMG et administrateur de Consult’in France.

David Gateau est diplômé de Centrale Marseille et Industriales Madrid. Co-fondateur de Datsit-Conseil, société spécialisée dans l’accompagnement des transformations d’entreprises et du secteur public, il a travaillé auparavant dans plusieurs grandes organisations dont SAGEM et MATRA Automobile.

Extrait de la préface

« Nous avons tous été influencés par des dirigeants qui mènent leur groupe au succès et savent faire partager une vision hors du commun, inspirante, tout en développant un leadership authentique et distribué. Ces entreprises se reconnaissent par la singularité de leur culture et de leur performance. Pour y parvenir, ils ont imaginé l’organisation qui permet au corps social de s’adapter et de progresser de manière continue, en interaction avec la transformation digitale et l’évolution de leur écosystème. L’organisation et le mode opératoire sont déterminants en ce qu’ils créent les conditions de l’engagement des salariés et des parties prenantes. C’est le courage et le mérite de l’ouvrage La Révolution des organisations d’observer, d’analyser et de proposer des pistes de réflexion pour orienter nos propres organisations, permettant ainsi à l’écosystème des entreprises de se transformer et de contribuer à la richesse des territoires sur lesquelles elles se développent. Quels défis ! »

Pierre Deheunynck, DGA Groupe Engie. 

Revue de presse

Livre du jour : « La révolution des organisations » de Daniel Baroin & David Gateau
BFM Business – 19/02/2019 > Regarder l’interview 

Réinventer l’organisation du travail
Le Monde – 13/03/2019 > Lire l’article

Travailler différemment en raison d’une transformation générationnelle
> Lire un extrait de La Révolution des organisations – Pour une nouvelle architecture de l’entreprise

Par |2019-04-18T12:44:58+00:00avril 10th, 2019|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mars2019

Intelligence collective, congés de vie, absentéisme, appli… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 sujets en lien avec l’engagement des salariés dans les articles de la presse parus en mars.

Intelligence collective : un impact positif sur l’engagement des salariés
La tendance à l’intelligence collective semble s’installer durablement dans le monde du travail. Plusieurs solutions font désormais partie du quotidien des entreprises françaises pour démultiplier les performances et générer l’engagement des salariés : Plate-forme intranet ou extranet, réseau social d’entreprise, logiciels de messagerie ou de travail en commun, management partagé, hackathons, boîtes à idées, team building, séminaires, coaching…
Quand l’intelligence collective se met au service de l’entreprise
Article du 18/03/2019

Le « congés de vie », une stratégie pour motiver et garder les jeunes talents
En Australie, Ernst & Young a décidé d’octroyer à ses salariés 12 semaines annuelles de « congés de vie ». Des jours de congés qui pourront être utilisés par blocs de 6 semaines ou en un seul coup pour voyager, se relaxer, travailler à temps partiel… Les managers constatent que plus de flexibilité sur le lieu de travail augmente l’engagement des employés de 11%. Une dynamique insufflée par les millennials.
À cause des millennials, cette entreprise instaure 12 semaines de « congés de vie »
Article du 20/03/2019

L’absentéisme lié au désengagement augmente
Un salarié est absent 17 jours en moyenne par an (13,5 jours il y a 10 ans). Le problème est clairement posé dans le cadre de la grande réforme sur la santé au travail : comment enrayer la hausse des arrêts maladie pour qu’ils coûtent moins cher ? Parmi les causes, entre 35 et 45% des absences sont causées par le désengagement. Des règles et des pratiques sont à réinventer.
Un salarié absent, c’est un signal envoyé à l’employeur : les entreprises invitées à « repanser » le travail
Article du 18/03/2019

Communication, cohésion, bien-être, engagement… les applis à connaître    
L’appli Bloomin aide les managers et DRH à mesurer l’expérience et l’engagement des salariés en instaurant une culture du « feed-back » pour améliorer les relations internes. Comeet utilise l’intelligence artificielle pour créer du lien social et accroître l’engagement au travail. Son rôle est de connecter les profils selon leurs affinités pour des déjeuners, des afterworks ou encore des activités sportives ou culturelles. Et aussi, Smart Coaching un coach virtuel, Noisli pour se concentrer en open space, Supermood l’appli qui donne la parole aux salariés…
17 applis digitales pour se sentir mieux au travail
Article du 30/03/2019

Être soi-même permet d’accroître l’engagement au travail    
Une étude scientifique à paraître dans le Journal of Business and Psychology démontre que le fait d’être soi-même en révélant ses particularités est généralement une expérience positive car elle permet d’améliorer les relations de travail, d’en nouer de nouvelles et de libérer son esprit de pensées liées à la dissimulation de cette différence.
Au travail, être soi-même serait meilleur pour le bien-être et la productivité
Article du 28/02/2019

4ème Forum de l’Engagement le mardi 2 juillet 2019. SAVE THE DATE !

Par |2019-04-04T07:57:01+00:00avril 4th, 2019|

Comment encourager l’engagement pluriel de ses salariés ?

Une entreprise qui propose de s’engager dans des projets sans lien direct avec le travail quotidien permet d’accroître le sentiment de fierté, de responsabilisation et de contribution de ses salariés. Comment s’y prendre pour favoriser l’engagement pluriel et profiter des impacts positifs sur l’entreprise ?

 

Les différentes populations de l’entreprise

À l’engagement personnel s’ajoute parfois un engagement dans le cadre du travail, favorisé par les initiatives des entreprises pour développer l’engagement pluriel. 4 profils de salariés engagés se dessinent dans le rapport aux engagements pluriels :

  1. Les aventuriers (23%). Un salarié de moins de 35 ans qui travaille en région parisienne, cadre ou manager. Il est à la recherche d’expériences nouvelles. Il se définit comme engagé et associe engagement personnel et engagement dans le cadre du travail.
  2. Les militants (21%). Un salarié qui a déjà eu une expérience d’engagement, principalement dans le milieu associatif. S’il n’a pas nécessairement une perception négative de l’accueil que pourrait réserver son entreprise à ce type d’engagement, il est toutefois relativement prudent. Très intéressé par d’éventuelles initiatives, il est avant tout motivé par la perspective de défendre une cause qui lui tient à cœur et par l’utilité sociale du projet.
  3. Les pragmatiques (38%). Un salarié qui se dit engagé en tant que personne, mais qui n’a plus beaucoup d’engagements actifs. Il travaille depuis plus de 20 ans au sein de son entreprise, il pense que les initiatives d’engagement proposées par l’entreprise peuvent être bénéfiques, mais pas assez encouragées en interne.
  4. Les réfractaires (19%). Ayant peu d’expérience d’engagement citoyen, il se définit comme peu engagé à titre personnel. Il cloisonne très clairement son engagement personnel et sa vie de salarié. Il n’est pas très intéressé par les éventuelles initiatives qui pourraient lui être proposées, doutant de la sincérité de la démarche.

 

Une nécessaire adaptation aux attentes

L’entreprise doit proposer des initiatives en ligne avec les attentes et les aspirations de chacun pour s’adapter aux quatre populations de salariés engagés. Par nature, peu enclins aux engagements pluriels, il n’est pas nécessaire de se focaliser sur les réfractaires. Pour embarquer les pragmatiques, il faut rassurer en définissant au mieux les frontières et les règles d’une participation. Les militants doivent se sentir libres et soutenus pour participer à une initiative et défendre une cause qui leur tient à cœur. Et enfin, il faut nourrir les aventuriers d’initiatives pour qu’ils entrainent les pragmatiques dans leur sillon.

 

Les facteurs de succès

Pour favoriser le développement de l’engagement pluriel, il faut une double résonnance des pratiques au niveau de l’entreprise et des salariés. Les dispositifs les plus collectifs et les connectés à ce qu’est l’entreprise (mission, métier, culture) ont le plus d’impacts positifs sur les salariés. D’autres facteurs clés de succès connexes sont également nécessaires : la connaissance des actions et leur reconnaissance, leur visibilité et leur impact, ainsi que la sincérité de la démarche. Et enfin, le succès des dispositifs dépend aussi du nombre de participants. Un engagement pluriel se développera dans l’entreprise si le plus grand nombre de salariés peut y participer en fonction de ses possibilités concrètes.

 

* Statistiques tirés de l’étude quantitative « L’engagement pluriel » réalisée par Opinion Way. Une publication de l’Observatoire de l’Engagement, co-créé par les sociétés Carewan et Osagan, dans le cadre d’un contrat de recherche avec l’Université Paris-Dauphine.
Par |2019-03-21T09:09:32+00:00mars 21st, 2019|

Pourquoi favoriser l’engagement pluriel de ses salariés ?

Les pratiques d’engagement pluriel proposées par les entreprises permettent aux salariés de s’engager dans des projets en dehors de leur travail quotidien. Selon les résultats de l’étude d’Opinion Way sur l’engagement pluriel, les bénéfices sont positifs pour le salarié comme pour l’entreprise.    

 

Des bénéfices multiples

Les salariés qui prennent part à des initiatives proposées au sein de leur entreprise affirment en avoir tiré de nombreux bénéfices.Parmi ceux qui ont été cités, 40% des salariés retirent une énergie positive et inspirante de cette expérience.Pour 38%, ils ont éprouvé de la fierté et en ont retiré des compétences relationnelles (35%), des connaissances et des savoirs faire (29%). Ces expériences sont aussi l’occasion de faire de belles rencontres pour 28% des interrogés et de ressentir une forme d’épanouissement (27%). A noter que sur les 1 000 salariés interrogés seulement 15% d’entre eux déclarent avoir déjà participé à au moins une initiative organisée par leur entreprise.

 

Une stratégie gagnant-gagnant

Pour 8 salariés sur 10, le fait qu’une entreprise propose à ses salariés de s’engager dans une cause ou dans des projets sans lien direct avec leur travail leur semble une stratégie « gagnant-gagnant », bénéfique tant aux salariés qu’à l’entreprise. En effet, les engagements pluriels peuvent être une source de motivation accrue pour les salariés mais aussi avoir d’autres impacts positifs sur l’entreprise comme l’innovation ou une meilleure image employeur. L’entreprise peut également bénéficier des retombées des dispositifs en termes de renouvellement des relationsinternes. L’engagement pluriel des salariés constitue ainsi une belle opportunité de décloisonnement pour pallier notamment les effets de silo dans l’entreprise.

 

Des salariés plus engagés

Les engagements pluriels des salariés sont fortement corrélés avec leur engagement au travail et favorisent de ce fait la performance de l’entreprise au global. 90% des salariés engagés dans au moins une initiative se déclare fier de travailler dans son entreprisecontre 66% pour ceux qui ne sont pas engagés. Ils sont 83% à recommander leur entreprise en tant qu’employeur à des connaissances contre 59%. Un salarié qui participe à un dispositif d’engagement pluriel de son entreprise a aussi un plus grand sentiment de responsabilisation (86% vs. 71%) et de contribution (85% vs. 68%). L’adhésion aux valeurs et à la culturede l’entreprise est également favorisée (81% vs. 58%).

 

A lire aussi > Comment encourager l’engagement pluriel de ses salariés ?

 

* Statistiques tirés de l’étude quantitative « L’engagement pluriel » réalisée par Opinion Way. Une publication de l’Observatoire de l’Engagement, co-créé par les sociétés Carewan et Osagan, dans le cadre d’un contrat de recherche avec l’Université Paris-Dauphine.
Par |2019-03-21T09:14:58+00:00mars 13th, 2019|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Février2019

Engagement durable, Transparence, start-up, priorités… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 sujets en lien avec l’engagement des salariés dans les articles de la presse parus en février.

Start-up : Supermood le sondage des salariés en temps réél 
Supermood, start-up lancée en 2015, détecte les points faibles et les points forts de l’entreprise en temps réel grâce à une solution de sondage. Toutes les semaines, des sondages anonymes sont envoyés aux salariés pour mesurer et identifier les besoins puis transmis aux dirigeants pour mettre en place des actions destinées à améliorer leur engagement et leur bien-être au sein de l’entreprise.
Supermood, la start-up qui mesure l’engagement des collaborateurs, lève 2,5 millions d’euros
Article du 19/02/2018
La recette de Supermood pour favoriser l’engagement des collaborateurs
Article du 11/02/2019

Priorités 2019 n°1 : l’engagement des salariés
Le Top Employers Institute, organisme de certification indépendant international, évalue et valorise les meilleures pratiques RH des organisations. Les entreprises distinguées ont toutes une première priorité : elles cherchent à renforcer l’expérience collaborateur. Conditions de travail, projets collaboratifs, études d’engagement pour recueillir l’avis des équipes…
Ressources humaines : quoi de neuf en 2019 ?
Article du 05/02/2019

Le chemin vers un engagement durable
Il est temps d’inventer une nouvelle manière de s’engager dans sa vie professionnelle. Dans Engagement 4.0, Bernard Coulaty aborde les excès du désengagement et du surengagement et définit une typologie en huit profils – des moins engagés au plus surengagés.
Un New Deal pour l’engagement des salariés
Article du 13/02/2019

A lire aussi > Lu pour vous / Engagement 4.0

La transparence sur les salaires est un vecteur d’engagement
Avec succès, certaines entreprises ont décidé de briser le tabou et pratique la transparence salariale. Des initiatives pro-transparence qui émergent aussi sur les réseaux sociaux, notamment dans le secteur de la tech.
Ces entreprises ont mis fin au tabou sur les salaires
Article du 11/02/2019

Investissez les murs !
Les murs sont les meilleurs alliés pour communiquer en interne comme à l’externe sur l’ADN, les ambitions et la stratégie d’une entreprise. Comment offrir un cadre dynamisant peut construire une culture d’entreprise forte et décupler l’engagement des salariés ?
Startups, jetez votre babyfoot et investissez vos murs
Article du 12/02/2019

Par |2019-03-07T09:38:29+00:00mars 7th, 2019|

Lu pour vous / La faillite de la pensée managériale

LA FAILLITE DE LA PENSÉE MANAGÉRIALE
Éditeur : Seuil
Date de parution : 08/01/2015
En vente en ligne et en librairie.

Le résumé

En apparence, les méthodes de management ne cessent de se renouveler. En réalité, le management tourne en rond.

Dans le second volume de Lost in management, François Dupuy s’attache à démonter les mécanismes de l’appauvrissement de la pensée managériale et à en montrer les graves conséquences pour les entreprises. Habillant les idées reçues d’un jargon déconnecté de la « réalité », dirigeants et managers commettent des erreurs de raisonnement et des confusions qui pénalisent toujours plus leurs décisions.

À travers des exemples de la vie quotidienne en entreprise, cet ouvrage montre la responsabilité des grands cabinets de conseil et des business schools dans la diffusion de cette pensée paresseuse et de ces pratiques surannées avec lesquelles il est encore temps de rompre.

L’auteur

Titulaire d’une licence d’histoire ancienne, diplômé de Sciences Po, François Dupuy s’est spécialisé dans l’étude de la sociologie des organisations. Après avoir travaillé pendant 15 ans au CNRS, il a dirigé deux cabinets de conseil (dont un américain). Il est aujourd’hui professeur de business school et pratique de manière régulière une activité de conseil. Il doit son succès de consultant à sa capacité d’harmoniser la rigueur d’une approche universitaire et le pragmatisme d’un homme de terrain.

François Dupuy est également l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages percutants consacrés au monde de l’entreprise.

Revue de presse

La multiplication des chefs de projet est une catastrophe managériale majeure », affirme le sociologue François Dupuy
>Lire l’article

L’entreprise ou le règne de l’inculture
>Lire l’article

François Dupuy : « Moins le sommet a d’informations, plus il lance d’initiatives en tous sens !»
>Lire l’article

Pourquoi le management tourne en rond ?
>Lire l’article

Par |2019-02-21T15:22:06+00:00février 21st, 2019|

Lu pour vous / Du plaisir d’être soi

DU PLAISIR D’ÊTRE SOI
Petit traité de navigation intérieure
Éditeur : J’ai Lu
Date de parution : 21/03/2018
En vente en ligne et en librairie.

Le résumé

Dans une société de plus en plus normée, il devient difficile d’être pleinement soi-même, de savoir qui l’on est réellement et de s’accepter. Or, la clé du bonheur n’est-elle pas justement dans notre aptitude à être nous-mêmes ?

Sophie Peters, animatrice de la Libre Antenne le week-end sur Europe 1, nous emmène sur ce long chemin de la connaissance de soi afin de pouvoir offrir aux autres la meilleure version de nous-mêmes. Vous découvrirez alors que le bonheur est à portée de main si l’on accepte enfin d’être soi !

L’auteur

Journaliste et psychanalyste, Sophie Peters est éditorialiste à La Tribune, chroniqueuse au Monde et à Psychologies Magazine sur la vie au travail. Elle anime également sur Europe 1 le vendredi soir une émission d’écoute des auditeurs en direct. En parallèle, elle a créé Sens&Perspectives et exerce une activité de consultante en qualité de vie au travail. Habitée par le désir de « penser le changement plutôt que de changer le pansement », elle souhaite aider les individus et les organisations à s’ouvrir à une approche plus positive et humaniste. Elle croit profondément à la capacité des êtres humains à agir sur leur destinée.

Revue de presse

Bien se connaître, à quoi ça sert ?
>Lire l’article

Sophie PETERS pour son livre Du Plaisir d’Être Soi – Psychologie Europe 1 Libre Antenne
> Regarder la vidéo

Sophie Peters ou la pertinence d’être dans le plaisir de soi dans la periode trouble que connaît le pays
> Lire l’article 

Par |2019-02-14T09:20:47+00:00février 14th, 2019|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Janvier2019

Engagement pluriel, télétravail, job idéal… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 sujets en lien avec l’engagement des salariés dans les articles de la presse parus en janvier.

Les contours du job idéal selon les Français
Une TPE/PME qui porte la valeur du respect, des collègues chaleureux, des horaires flexibles, trois qualités indispensables au management : le respect (71 %), l’écoute (67 %) et le leadership (42 %) … Le job idéal qui donne envie de s’engager existe !
Structure, équilibre de vie… Voici le «job idéal» selon les Français

Article du 14/01/2019

Que peuvent faire les RH pour maintenir un niveau d’engagement élevé ? 
L’étude du service de paie et RH ADP tente de déterminer de quelle façon les salariés perçoivent leur travail, ce qu’ils attendent véritablement de leurs employeurs et ce que les entreprises peuvent faire pour améliorer leurs ressources humaines et maintenir un niveau d’engagement élevé.
Qu’est-ce qui nous rend malheureux au travail ? Ce que les services RH devraient savoir sur leurs collaborateurs

Article du 24/01/2019

L’engagement pluriel a le vent en poupe !
Le 16 janvier, dix-sept dirigeants d’entreprises ont signé un manifeste en faveur du mécénat de compétences et s’engagent à donner aux salariés les moyens de réaliser des actions d’intérêt général, au service d’une association, sur leur temps de travail.
Mécénat de compétences : les entreprises accélèrent

Article du 20/01/2019

Prédire l’engagement avant le recrutement
36% des personnes embauchées ne sont plus en poste au bout d’un an et dans neuf cas sur dix, ces échecs viennent des problèmes de comportement. Ainsi, de nouvelles formes d’évaluation du potentiel ont récemment émergé. C’est le cas du recrutement prédictif qui permet de formuler des prédictions explicites et parfaitement argumentées quant aux capacités de réussite et d’engagement des personnes.
Le recrutement prédictif, une méthode efficace pour éviter les erreurs de casting

Article du 24/01/2019

> Les managers sont-ils prêts pour le télétravail ? 
Hausse de la productivité, réduction des coûts immobiliers, diminution de l’absentéisme et du turnover, accroissement de l’engagement des salariés… Le télétravail présente des avantages considérables pour les employés, les entreprises et l’État. Pourtant, le management en France est encore méfiant : peur de laisser plus de liberté aux équipes, valorisation du présentéisme et management « top-down » en sont les principales raisons.
Se mettre au télétravail ? Pourquoi pas ?

Article du 08/01/2019
Par |2019-02-07T10:51:13+00:00février 7th, 2019|

Que proposent les entreprises à leurs salariés en matière d’initiatives d’engagement ?

Don, bénévolat, course solidaire… Il existe plusieurs pratiques d’engagement pluriel qui permettent aux salariés de s’engager dans des projets en dehors de leur travail quotidien. Selon les résultats de l’étude d’Opinion Way sur l’engagement pluriel peu de salariés ont participé à au moins une initiative organisée par leur entreprise et nombreux sont ceux à estimer que la participation n’est pas encouragée. Que proposent aujourd’hui les entreprises et ces initiatives sont-elles connues ?

 

Des initiatives encore peu développées

En dépit d’un intérêt certain de la part des salariés pour des initiatives qui favorisent leurs engagements pluriels, dans les faits on constate que les actions proposées par l’entreprise sont peu visibles. Alors même que les 3/4 des interrogés pensent que l’entreprise serait tout à fait légitime pour proposer des initiatives d’engagement autres que le travail en lui-même. Seulement 55% des salariés ont connaissance d’au moins une initiative au sein de leur entreprise. Pour 20% d’entre eux, il s’agit d’une course solidaire au profit d’une association, 19% citent le congé spécifique et 14% la journée de solidarité.

 

L’expérience d’une minorité de salariés

Les engagements pluriels peuvent être sources de motivation accrue et avoir d’autres impacts positifs sur l’entreprise : innovation, renouvellement des liens internes et externes, impact financier, image… Mais encore faut-il que les salariés connaissent les actions proposées et y participent. Sur 1000 salariés interrogés en 2018, seulement 15% ont déjà participé à au moins une initiative organisée par leur entreprise. Il est intéressant de noter que les initiatives d’engagement pluriel sont davantage visibles et répandues en région parisienne (67% et 19% respectivement) et dans les grandes entreprises (61% et 19% respectivement) ainsi que davantage répandues chez les managers 28%.

 

Des initiatives peu encouragées par les entreprises ?

Pour expliquer l’expérience d’une faible minorité des salariés à ces initiatives (15%), il faut que l’entreprise mette en place un dispositif, qui peut aller du don des invendus jusqu’au mécénat de compétences, puis le fasse connaitre et enfin que le plus grand nombre puisse y contribuer. Pour exemple, l’organisation d’une course solidaire aura plus de résonnance auprès des salariés adeptes de cette pratique sportive. Or, l’étude montre également que 63% des salariés estiment que les initiatives sont peu encouragées dans leur entreprise et parmi eux, 21% pensent qu’elles ne le sont pas du tout.

* Statistiques tirés de l’étude quantitative « L’engagement pluriel » réalisée par Opinion Way. Une publication de l’Observatoire de l’Engagement, co-créé par les sociétés Carewan et Osagan, dans le cadre d’un contrat de recherche avec l’Université Paris-Dauphine.
Par |2019-01-24T08:21:51+00:00janvier 24th, 2019|

Les salariés français seraient-ils intéressés par des initiatives d’engagement que leur proposerait leur entreprise ?

Si 61% des salariés français se définissent comme engagés en tant que personne ou citoyen, seuls 15% le sont dans leur milieu professionnel. Association, projet humanitaire, tutorat, projet collectif… Les possibilités d’engagement sont nombreuses. Est-ce à l’entreprise d’organiser ou de proposer ces initiatives ?

 

L’entreprise est-elle légitime ?

Parmi les 6 salariés sur 10 qui se définissent comme engagés, la plupart affirment que leurs expériences d’engagement ont été enrichissantes quel que soit le projet. L’étude d’Opinion Way* sur l’engagement pluriel, c’est-à-dire l’ensemble des engagements des salariés en dehors de leur travail quotidien, s’est intéressée à la légitimité de l’entreprise. L’entreprise peut-elle proposer à ses salariés de s’engager dans des causes ou sur des projets sans lien direct avec leur travail ? Pour 73% des interrogés, l’entreprise serait tout à fait légitime pour proposer des initiatives d’engagement autres que le travail en lui-même.

 

Les initiatives d’engagement attendues

Si l’entreprise peut donc être un moteur et a même un rôle à jouer dans l’appétence des salariés à s’engager pour des projets sans lien direct avec leur travail, certaines initiatives intéressent plus que d’autres. Dans le Top 3, 42% des salariés seraient intéressés par des congés spécifiques (congés solidaire, solidarité familiale, proche aidant…). 33% souhaiteraient réaliser une Journée de solidarité durant laquelle ils travailleraient sur un projet pour une association. L’intérêt pour une journée solidaire est d’ailleurs plus prononcé pour les ouvriers et les agents de maîtrise. Et enfin, 27% des salariés souhaiteraient s’investir dans le mécénat de compétences (engagement volontaire du salarié pendant son temps de travail). Cette attente étant nettement plus prégnante chez les cadres (39%) et chez les salariés entre 40 et 49 ans (32%).

 

Les motivations et les freins

Pour 37% des salariés, la première raison de s’engager dans une initiative proposée par l’entreprise est la possibilité de défendre une cause qui leur tient à cœur. D’autres leviers de mobilisation, cités par un peu moins d’un tiers, seraient le fait de vivre une autre expérience, de pouvoir sortir de son quotidien de travail et s’aérer l’esprit ou encore le fait de se rendre utile socialement. Enfin, si on demande aux salariés quels sont les freins qui pourraient les dissuader de participer à une initiative de leur entreprise, 43% répondent que c’est le souhait de compartimenter sa vie professionnelle et vie personnelle. Pour 35% d’entre eux, la charge de travail ne leur laisse que peu de temps pour s’engager.

* Statistiques tirés de l’étude quantitative « L’engagement pluriel » réalisée par Opinion Way. Une publication de l’Observatoire de l’Engagement, co-créé par les sociétés Carewan et Osagan, dans le cadre d’un contrat de recherche avec l’Université Paris-Dauphine.
Par |2019-01-17T09:43:30+00:00janvier 17th, 2019|
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