La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Octobre2023

Revue de presse
Promotion, environnement, formation, actionnariat… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en octobre 2023.

Une conséquence inattendue

Une étude menée par l’ADP Research Institute a analysé les parcours professionnels de plus de 1,2 million de personnes aux Etats-Unis travaillant pour des sociétés d’au moins 1.000 salariés, entre 2019 à 2022. Les résultats montrent que 29 % des salariés démissionnent dans le mois qui suit leur promotion. En effet, accorder un poste plus élevé dans la hiérarchie et une meilleure rémunération, peut avoir une conséquence inattendue : cela augmenterait les chances que le salarié promu quitte l’entreprise. D’après l’étude, s’ils n’avaient pas été promus, seulement 18 % des salariés seraient partis de leur entreprise.
Pourquoi les salariés démissionnent davantage après une promotion
Article Les Échos Start publié le 31/10/2023

Engagés pour l’environnement

D’après le sondage Harris Interactive, commandé par le collectif Pour un réveil écologique, 70% des jeunes de 18 à 30 ans sont prêts à renoncer à une offre d’emploi si l’employeur ne prend pas en compte les enjeux environnementaux. Un chiffre en hausse de 5 points par rapport à 2022. Loin d’être désengagés, ils sont seulement 22% qui arrêteraient de travailler s’ils n’avaient pas besoin d’argent, contre 33% pour l’ensemble de la population française. 82% d’entre eux considèrent important d’avoir un emploi utile à la société et qui respecte l’environnement.
Enquête sur les jeunes et leur rapport à l’emploi
Communiqué Pour un réveil écologique publié le 03/10/2023

La formation de demain

Les résultats du baromètre international Transformations, Compétences et Learning du groupe Cegos montrent que 37 % des RH sondés en France rencontrent des difficultés à faire coïncider l’offre de formation avec les besoins en compétences de leur organisation. En parallèle 41 % des salariés français indiquent que la réponse à leurs besoins de formation arrive trop tardivement. À la question comment les formations devraient-elles évoluer ? les salariés internationaux souhaitent des formations opérationnelles et transposables en situation de travail (44 % en France), de préférence en présentiel, et imaginent des dispositifs plus interactifs et ludiques (34 % en France). Côté RH, la priorité est donnée à l’individualisation de la formation (47%) pour renforcer l’engagement des salariés, s’adapter aux besoins individuels et décupler leur efficacité dans la durée. Pour les DRH, les formations de demain conjugueront adaptive learning, e-coaching et social learning.
L’individualisation de la formation, un levier d’engagement et de fidélisation
Article Focus RH publié le 12/10/2023.

Insatisfaction

Le dernier Focus de la direction de la recherche du ministère du travail révèle que 36 % de l’ensemble des travailleurs déclarent au moins un motif d’insatisfaction vis-à-vis de leur emploi. Tout en haut de l’échelle du mécontentement, on trouve les CDD (86 %) et les intérimaires (81 %). Autre enseignement : le premier motif d’insatisfaction est lié à la durée insuffisante du travail (21 % de l’ensemble des répondants s’en plaignent). L’insatisfaction atteint son apogée au début de la vie active, avec six jeunes sur dix âgés de 20 à 22 ans ressentant un motif d’insatisfaction. Vers l’âge de 45 ans, c’est une personne sur trois en emploi, alors qu’à 64 ans, ce chiffre est d’une personne sur six.
Contrats, salaires, qualifications… entre les jeunes et l’emploi, c’est compliqué
Article Capital du 13/10/2023

Levier d’engagement et d’attractivité

D’après l’enquête réalisée avec l’IFOP par Diot-Siaci Institute et Natixis Interépargne l’actionnariat salarié est connu par plus des trois quarts des salariés de grandes entreprises (77%). Pourtant, moins d’un salarié sur deux (44%) voit précisément de quoi il s’agit, et moins d’un tiers d’entre eux se sent suffisamment informé sur les avantages fiscaux. Pour plus de la moitié des salariés interrogés (52%), l’actionnariat salarié est un dispositif fédérateur qui bénéficie autant à l’entreprise qu’aux salariés. 78% d’entre eux estiment qu’il permet d’améliorer les performances globales de l’entreprise et 82% considèrent que c’est un moyen efficace pour attirer et fidéliser les collaborateurs.
Les salariés français et l’actionnariat salarié
Étude IFOP publiée 09/10/2023

Par |2023-11-27T07:35:54+00:00novembre 27th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Septembre2023

Revue de presse
Absentéisme, entreprises exemplaires, RSE, IA… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en septembre 2023.

Une hausse significative

Selon le baromètre Ayming – Ag2r La Mondiale, le taux d’absentéisme en France est en hausse de 21% entre 2019 et 2023, avec des absences de courte durée multipliées par 2,3 en un an. Le profil des collaborateurs plus sujets à des arrêts de travail, est celui des moins satisfaits de leur intégration, qui souhaitent davantage changer de poste et qui recommanderaient moins leur entreprise que des employés non-absents. L’étude s’intéresse également à l’engagement des collaborateurs et aux facteurs d’attractivité des entreprises. Parmi les résultats, on apprend que la rémunération n’est plus le critère dominant dans le choix d’un poste et que la conciliation vie professionnelle/vie personnelle est le premier critère pour demeurer dans l’entreprise.
Résultats du 15e baromètre de l’absentéisme et de l’engagement 
Article AG2R la Mondiale publié le 12/09/2023

En quête d’exemplarité

Selon le sondage « Les Français et les entreprises engagées », mené par OpinionWay pour Les Échos et Bpifrance, 88% des répondants estiment qu’une organisation peut être simultanément performante et engagée. La création d’emploi en France est perçue comme le premier critère d’exemplarité (68%) puis l’engagement sociétal ou local (55%), la performance économique (50%) et l’innovation (39%). Parmi les résultats, il faut noter que le partage équitable des profits entre actionnaires et salariés se hisse en tête des attentes des salariés.
Engagement et performance : un binôme compatible selon 88 % des Français
Article Les Échos publié le 04/09/2023

Rebooster les troupes

Manque de reconnaissance, de sens, d’autonomie et de liberté, ennui, relations tendues… Plusieurs facteurs peuvent expliquer une perte de motivation. Pour rebooster les équipes, il existe différentes façons de raviver la flamme. En premier lieu, une communication ouverte sans émettre de jugement de valeur. Puis, la fixation d’objectifs atteignables et accessibles. La reconnaissance d’un droit à l’erreur comme voie d’apprentissage individuelle et collective. Et enfin, l’invitation à s’exprimer lorsque ça ne va pas accompagnée d’une écoute active du manager.
Motivation : 4 moyens de raviver la flamme dans votre équipe
Article Welcome to the Jungle publié le 11/09/2023.

Engagement first

Les résultats du sondage mené par OpinionWay pour Kelio révèlent une perception très différente des enjeux RSE de la part des RH et des collaborateurs. 80% des professionnels considèrent les enjeux RSE comme essentiels, mais 24% seulement en font une priorité, loin derrière l’engagement et la fidélisation des collaborateurs. Ces mêmes responsables RH ont le sentiment de communiquer de manière régulière sur les actions, les progrès et les résultats en RSE, mais seuls 48% des salariés confirment cette impression. Pourtant, 77% des salariés estiment qu’une entreprise qui prend en compte la RSE est plus attractive.
La RSE et les RH en 2023 : sondage OpinionWay pour Kelio
Article Kelio du 19/09/2023

Assistant virtuel

SComment peut-on utiliser l’Intelligence Artificielle (IA) dans un service RH ? Pour accueillir un nouveau salarié, l’IA peut guider et répondre aux questions courantes, proposer une intégration sur-mesure et délivrer des informations essentielles. Dans le recrutement, elle permet de filtrer rapidement de grands volumes de CV, d’effectuer des pré-sélections basées sur des critères précis ou de rédiger des offres d’emploi ciblées. L’assistant virtuel peut aussi analyser le bien-être des collaborateurs et décrypter le ressenti des équipes. Et enfin, faciliter l’élaboration de stratégies de mobilité interne, grâce à l’analyse prédictive qui prend en compte plusieurs paramètres tels que la performance, l’engagement ou encore le taux de rotation.
Comment l’IA peut aider les responsables RH au quotidien ?
Article Culture RH du 08/09/2023

Par |2023-10-26T09:10:43+00:00octobre 26th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Été2023

Revue de presse

Attentes des salariés, attractivité des entreprises, télétravail… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juillet et en août 2023.

Point de vue de DRH

Les DRH évaluent l’engagement de leurs salariés dans la 3e édition du baromètre Perspectives RH. Le télétravail, qui concerne désormais une entreprise sur deux, et le flex office sont devenus des critères d’attractivité (selon 81% des DRH). S’ils répondent aux attentes, 74 % des DRH notent néanmoins une baisse de moral et de motivation au sein des équipes. La rémunération reste le premier levier pour améliorer l’engagement, mais de nouvelles aspirations et priorités apparaissent depuis la crise sanitaire. Alors que les DRH sondés identifient les conditions de l’organisation du travail et l’intérêt des missions comme moteurs de l’engagement, la qualité des relations humaines et l’équilibre entre la vie personnelle et la vie professionnelle sont désormais au cœur des préoccupations.
Perspectives RH 2023 : les entreprises en décalage avec les attentes des salariés
Article Focus RH publié le 04/07/2023

Oui, mais…

Selon le sondage Les salariés et l’attractivité des entreprises, mené par OpinionWay, l’attractivité de l’entreprise ne repose pas seulement sur la rémunération pour plus de 53% des sondés. 44 % des répondants citent la flexibilité dans l’organisation du travail, 32 % l’intéressement, la participation et l’épargne salariale, 16 % un accompagnement dans la gestion de la vie personnelle (aide au logement, accès à une crèche, conseil sur les finances personnelles…), 14 % la santé-prévoyance et 10 % la formation continue.
Rémunération : 53 % des Français n’y voient pas l’unique critère d’attractivité de l’entreprise
Article Les Échos publié le 05/07/2023

Trouver le bon dosage

Une enquête menée par le Forum mondial de l’OCDE estime que le télétravail peut avoir des effets positifs sur la productivité s’il n’est pas excessif dans sa durée. Réalisée auprès de dirigeants et d’employés de 25 pays sur leur expérience et leurs attentes en matière de télétravail, l’étude montre que la productivité progresserait pour atteindre un pic entre un jour et deux de télétravail dans la semaine. Au-delà, elle chuterait à nouveau et effacerait les gains observés durant la première période. Pour 6 dirigeants sur 10 interrogés, la productivité a augmenté grâce au télétravail, mais 75% d’entre eux craignent qu’un niveau excessif de télétravail ne nuise à la collaboration entre les membres de l’équipe.
Au-delà de 2 jours de télétravail, la productivité des salariés aurait tendance à baisser
Article BFM TV publié le 18/07/2023

Sens, souplesse, évolutions, RSE…

Le baromètre EngagementIndex30® 2023 de Choose My Company fait un état des lieux de la relation au travail des Français. 66,3% des salariés sont engagés et motivés par leur travail et 81,3% des salariés affirment se sentir utile et voir l’impact de leur travail. 76% apprécient la qualité des relations humaines et 73% sont en phase avec les valeurs de leurs entreprises. Pourtant le développement professionnel ne satisfait pas pleinement. Seuls 2/3 des collaborateurs ont un avis favorable vis-à-vis du développement des compétences et seuls 60,2% affirment comprendre comment ils peuvent évoluer dans leur entreprise. Enfin, du côté de la RSE, seuls 6 collaborateurs sur 10 estiment que leur entreprise prend suffisamment en compte les enjeux de protection de la planète.
Engagement au Travail : entre sens, salaire et flexibilité, que veulent les collaborateurs pour rester ?
Article Culture RH du 11/07/2023

Gain de temps

Selon un sondage OpinionWay pour Slack, les travailleurs du savoir (cols-blancs) et les travailleurs de première ligne (cols-bleus) gagneraient 6h et 5h en moyenne par semaine avec l’apport de l’intelligence artificielle. Le regard croisé sur son utilisation et son impact en entreprise met en évidence l’utilité de l’IA pour trouver des informations, réaliser des tâches répétitives ou des tâches administratives basiques. Les cols-blancs considèrent que l’IA pourrait faire 19 % de leur travail au quotidien, contre 13 % pour les cols-bleus. 73 % des répondants cols-blancs assurent que l’IA leur fait gagner du temps, contre 64 % pour les cols-bleus.
IA au travail
Article RH Matin du 24/07/2023

Par |2023-09-29T07:54:34+00:00septembre 29th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Juin2023

Revue de presse

Niveau d’engagement, entretien annuel, valeurs, départs inattendus… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en juin 2023.

Départs inattendus

S’il n’est jamais évident de voir un collaborateur partir, il y a des signes qui peuvent mettre la puce à l’oreille. Le désengagement quotidien : le collaborateur ne manifeste plus d’intérêt pour ce qu’il fait, ne lance plus de nouveaux projets, a tendance à partir plus tôt que d’habitude ou à arriver en retard… Le désengagement affectif : la relation avec les collègues et managers se distend, il ne participe plus aux soirées d’entreprise, déjeune moins avec ses collègues… Autre possibilité pour prédire les démissions, l’intelligence artificielle. Pour éviter les départs inattendus, il faut mettre en place des entretiens rapprochés et agir rapidement si un problème est détecté.
Ces signes avant-coureur qui prédisent la démission de vos collaborateurs
Article Welcome to the Jungle publié le 26/06/2023

Un léger mieux

L’édition 2023 de l’étude State of the Global Workplace de Gallup révèle que le niveau d’engagement des employés français reste bas mais stable, avec un taux d’engagement de 7%, en dessous de la moyenne européenne de 13%. La France occupe la 36ème position du classement sur 38 pays européens (un rang de mieux que l’an dernier). Les Européens qui s’estiment désengagés sont 72% (contre 59 % au niveau mondial) et la part de ceux « activement désengagés » atteint 15% (18 % à l’échelle de la planète). Ces états d’esprit correspondent aux tendances globales de quiet quitting et de loud quitting. La première consiste à faire son travail sans plus et la seconde à parler de son désengagement autour de soi, mais sans forcément chercher un emploi ailleurs.
Seuls 7 % des salariés français se sentent engagés au travail
Article Courrier Cadres publié le 13/06/2023

Temps d’échange

Selon une étude menée par l’Ifop pour Javelo, 40% des salariés ne bénéficient pas d’un entretien annuel d’évaluation, un rendez-vous pour faire le point avec son manager sur l’année écoulée et sur les objectifs de l’année à venir. Dans le secteur public, 30% des agents ne font jamais ce point avec leur chef. Dans le privé, 78% des salariés d’entreprises de plus de 500 personnes affirment avoir droit à ce rendez-vous annuel alors que dans les plus petites structures, de moins de 20 salariés, seuls 35% des collaborateurs le passent. Il faut rappeler que le code du travail n’impose pas de faire des entretiens annuels.
Pourquoi toutes les entreprises ne pratiquent pas l’entretien annuel d’évaluation
Article France Info publié le 29/06/2023

Priorité aux valeurs et aux engagements

LinkedIn a publié le 1er juin une enquête sur le rapport que les Français de la génération Z, nés entre 1995 et 2010, entretiennent avec le monde du travail. 65 % d’entre eux considèrent les valeurs et les engagements d’une entreprise comme un critère prioritaire lors d’une recherche d’emploi. L’absence d’opportunités d’évolution de carrière ou de formation en interne (pour 39 % d’entre eux), le manque de flexibilité (35 %) et l’absence d’engagements clairs concernant l’environnement (31 %) sont les trois principaux points rédhibitoires. Plus de 4 jeunes actifs sur 5 ont déjà quitté un emploi ou envisagé de le faire parce que celui-ci ne correspondait pas à leurs valeurs.
Les jeunes et le travail : « Les entreprises doivent pratiquer un management plus individualisé »
Article L’Express publié le 08/06/2023

Mouvement pour des jours d’engagement au travail

Le 7 juin, 31 entreprises signent le manifeste et rejoignent le Mouvement pour des jours d’engagement au travail, une initiative menée par la start-up Vendredi. Parmi les signataires : Suez, Danone, Electro Dépôt, France Digitale, Luko, Phenix, ou encore Swile qui représentent près de 53 000 salariés. En moyenne, elles accordent 3,5 jours par an à leurs salariés qui souhaitent donner de leur temps pour une cause qui leur tient à cœur. L’objectif de ce mouvement est d’inciter au moins 1.500 entreprises à proposer ces jours d’engagement également nommés crédits solidaires.
Suez, Danone, Swile… Ces entreprises offrent du temps à leurs salariés pour faire du bénévolat
Article Les Echos Start publié le 07/06/2023

Par |2023-07-11T17:25:01+00:00juillet 11th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mai2023

Revue de presse

Infobésité, séniors, mobilité interne, lieu de travail… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en mai 2023.

Une bonne dose d’emails par jour

Selon l’étude menée sur 9.000 salariés par l’Observatoire de l’infobésité et de la collaboration numérique (OICN), un manager enverrait en moyenne 47 mails par jours, et en recevrait une centaine. Un dirigeant serait, lui, à l’origine de 78 mails par jours, et en compterait 331 à traiter dans sa boîte mail au quotidien. Les managers et les dirigeants seraient donc les plus exposés à l’infobésité, ou surcharge informationnelle, une « situation dans laquelle une personne est submergée par une quantité excessive d’informations, au point où cela devient difficile à gérer et à traiter ». Cet afflux d’informations ferait disparaître les temps de concentration dans la journée de travail et les conséquences sont multiples : augmentation du bruit numérique lié aux croisements des réponses, baisse de la qualité conversationnelle, sentiment d’urgence permanent générant stress et anxiété.
Hyperconnexion et « trop plein » d’e-mails : que dit le rapport sur l’infobésité ?
Article Challenges publié le 16/05/2023
Référentiel annuel de l’OICN

Super sénior !

Une étude menée auprès de plus de 10.000 salariés de 45 ans et plus par le cabinet Alternego révèle les salariés en seconde partie de carrière déclarent être en forme, engagés, et motivés. Dans le même temps, ils ont moins de contraintes personnelles et donc plus de temps à consacrer à leur carrière. Près de 90% déclarent « souhaiter transmettre ce qu’ils savent de leur travail et de leur entreprise ». Ils déclarent aussi que leur travail est mal reconnu et que les perspectives proposées par leur entreprise sont insatisfaisantes. Ils ne sont que 40% à penser que leurs contributions professionnelles sont reconnues à leur juste valeur et seulement 25% pensent que les opportunités d’évolutions de carrière qui leur sont proposées sont satisfaisantes.
Étude seconde partie de carrière : ressentis et attentes des salariés
Article Alternego publié le 15/05/2023

Engagement & mobilité interne

Selon l’enquête mondiale de Lighthouse Research & Advisory et Cornerstone sur la mobilité des talents en 2023, l’engagement auprès de l’entreprise est lié à la volonté de disposer d’opportunités de mobilité interne. Ainsi, 70 % des employés interrogés affirment être intéressés par les opportunités d’évolution en interne dès le processus de recrutement. 20 % considèrent qu’ils n’ont pas accès aux offres qui leur permettraient d’envisager un autre poste. Ce manque de visibilité est propice au désengagement puisque 60 % affirment qu’ils ne sont, de ce fait, pas intéressés par d’autres postes au sein de leur entreprise. L’accès aux offres d’emploi en interne par le biais d’une plateforme serait l’occasion de gagner en autonomie et d’évaluer indépendamment les postes les plus à même de répondre à leurs ambitions.
Mobilité interne : comment la visibilité des offres influe sur l’engagement des salariés
Article RH Matin publié le 16/05/2023

Un fléau pour l’entreprise

Comment faire pour se prémunir d’absences à répétition des salariés ? Comment cultiver l’engagement durable ? 8 actions à mettre en place. Tout d’abord organiser des formations pour mettre l’accent sur le besoin de prendre soin de sa santé. Lever le tabou sur les vacances, le droit à déconnexion et les arrêts maladie. Ensuite, contrôler la charge de travail des équipes et donner du sens. Parler d’avenir, des ambitions et des souhaits de formation. Cultiver l’art de la reconnaissance. Et enfin, être à l’écoute des besoins. Favoriser l’entraide et le soutien dans les équipes. Proposer un accompagnement au retour d’un collaborateur.
Absentéisme : 8 actions pour s’en prémunir et cultiver un engagement durable
Article Les Echos Solutions publié le 24/05/2023

Séduire les jeunes par le lieu de travail

Quelles sont les attentes des jeunes salariés en matière de nouveaux modes et d’espaces de travail ? Qu’est-ce qui les motive à venir travailler au bureau ? Dans la 6e édition du baromètre sur les évolutions des modes et espaces de travail, Parella fait un focus sur les moins de 35 ans. 75% d’entre eux aiment venir travailler au bureau, lieu de lien social. 58 % viennent pour échanger et 40 % pour l’ambiance. Le flex office est plus courant chez les moins de 35 ans et concerne 37 % d’entre eux, soit 9 points de plus que la moyenne. L’espace de travail joue un rôle crucial dans le choix d’entreprise (73 %) et pousse également ces jeunes à rester (76 %). Ils sont plus convaincus que la moyenne sur le besoin de réinventer les espaces de travail et de proposer des espaces « mieux qu’à la maison ». Pour séduire les jeunes générations, les dirigeants d’entreprise doivent également proposer davantage de services : offres de restauration, de services, d’activités sportives ou encore une salle de sieste.
Travail hybride, coworking, flex office… les jeunes salariés adeptes des nouveaux modes de travail
Article Focus RH publié le 24/05/2023

Par |2023-06-11T18:05:48+00:00juin 11th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Avril2023

Revue de presse

Aspirations des jeunes, pratiques innovantes, absentéisme… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en avril 2023.

Il y a comme un décalage

D’après l’enquête réalisée par Harris Interactive pour Malakoff Humanis, les dirigeants ont bien identifié les trois critères de fidélisation prioritaires pour les salariés : une bonne protection sociale, des conditions de travail agréables et des avantages sociaux attractifs. Pourtant les actions qu’ils mettent en œuvre pour fidéliser leurs collaborateurs ne sont pas toujours en phase avec les attentes de ces derniers. En effet, les chefs d’entreprise déclarent mettre en avant tout l’accent sur la reconnaissance, la formation et la gestion des compétences. De leur côté, les salariés démissionnaires expliquent leur choix par des motifs propres à l’entreprise quittée : rémunération insuffisante (33%), mauvaise ambiance de travail (31%), absence ou manque de reconnaissance (29%).
L’engagement au travail : une notion de plus en plus difficile à appréhender
Étude Malakoff Humanis – 05/04/2023

Panorama des aspirations des jeunes diplômés

L’EDHEC NewGen Talent Center a mené une étude auprès de jeunes diplômés de seize grandes écoles. Trois profils d’ambitions professionnelles ont été mis en lumière : 38 % d’engagés dont une majorité de diplômés d’écoles d’ingénieurs, 35% d’entrepreneurs avec une majorité de diplômés d’écoles de commerce et enfin, 27 % de compétiteurs. Ils sont 38 % à affirmer que leur ambition est centrée sur l’intérêt général. Concernant leurs objectifs professionnels, le développement personnel et l’acquisition de nouvelles compétences arrivent en haut de la liste (33 %).
Flexibilité, reconnaissance et développement : des attentes fortes pour les diplômés de grandes écoles
Article Focus RH publié le 04/04/2023
Débuts de carrière des jeunes diplômés des grandes écoles

L’art du management en télétravail

Les entreprises doivent s’adapter à un nouveau type de fonctionnement à distance qui présente de nombreux défis, dont celui du management en télétravail. Parmi les bonnes pratiques : apprendre à faire confiance à son équipe et à la capacité de chacun à gérer son temps de travail efficacement. Ce qui compte, c’est que les objectifs soient atteints. Fixer des objectifs SMART c’est-à-dire Spécifiques, Mesurables, Accessibles, Réalistes et Temporelles. S’équiper des bons outils de management à distance comme Slack, Discord, Trello… Entretenir la cohésion d’équipe et renforcer les liens qui unissent les personnes entre elles. Et enfin favoriser la communication par des entretiens individuels réguliers avec chaque membre de l’équipe.
Les 5 règles d’or du management à distance
Article Welcome to the jungle publié le 17/04/2023

Stopper l’absentéisme

Selon l’étude du groupe de conseil et de courtage Diot-Siaci, le taux d’absentéisme atteint 5,64 % en 2022. Parmi les causes, les salariés mettent en avant une charge de travail trop importante, un manque de reconnaissance mais aussi l’ambiance de travail. En revanche, la durée moyenne annuelle diminue : 18,4 jours en 2022, contre 23,6 jours en 2021. Face à cette situation, les entreprises tentent de juguler ce fléau. 73 % estiment que la mise en place de davantage d’actions de prévention en lien avec la santé physique ou psychologique serait positive. 70 % pensent également qu’une plus grande souplesse dans l’organisation du travail et la possibilité d’évoquer ce type de sujets sur le lieu de travail permettrait d’éviter certains arrêts.
Les conditions de travail, principal facteur de l’absentéisme
Article Net PME publié le 17/04/2023

Opération séduction

Tour d’horizon des pratiques parmi les plus innovantes testées en France, par des entreprises de toutes tailles. Chez Leetchi, l’idée a été de retirer le critère du diplôme pour l’ensemble de ses offres d’emploi, de manière à en ouvrir l’accès au plus grand nombre. D’autres entreprises se sont mises au recrutement sans CV, pour ne pas passer à côté de « potentiels », quitte à les former ensuite aux métiers. Volkswagen a envoyé des voitures à réviser chez des garages automobiles concurrents, en y laissant des messages à destination des garagistes, pour les inciter à venir travailler chez eux. Pour se distinguer, la start-up Zefir a développé un calculateur de salaire, un outil en ligne qui permet de connaître, en fonction de l’expérience et du poste occupé, le niveau de rémunération auquel un candidat peut prétendre s’il rejoint l’entreprise. Sport au travail, chien et chat dans l’open space, talent show, supprimer les managers… Les entreprises ne sont pas à court d’idées pour attirer et retenir les talents.
Ces entreprises qui innovent le plus pour attirer (et retenir) les jeunes talents
Article Les Echos Start publié le 24/04/2023

Par |2023-05-10T16:28:49+00:00mai 10th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Mars2023

Revue de presse

Startup à impact, RSE, profil du désengagé… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en mars 2023.

Le profil du désengagé

Dissonants cognitifs, désillusionnés, égarés… 8 profils de salariés désengagés sont passés au crible. Parmi les moyens de retrouver une motivation professionnelle, l’article propose de chercher les entreprises ayant une vraie politique de responsabilité environnementale et sociétale, de trouver un poste qui offre une grande autonomie de décisions et d’actions ou de créer une entreprise. Pour les idéalistes, ayant toujours placé la barre haut en termes d’aspirations professionnelles, il est possible d’explorer d’autres espaces tels le sport ou l’engagement associatif. Pour d’autres, la solution peut être de quitter l’entreprise ou encore de vendre aux recruteurs la compétence à apprendre et d’avoir confiance en soi.
Quel désengagé êtes-vous au travail ? Les 8 profils
Article Welcome to the Jungle publié le 23/03/2023

Un état de connexion et d’harmonie

L’engagement est un état où l’on se sent à sa place, où les actions que l’on doit réaliser ne génèrent pas de conflit. Selon la théorie, les humains n’agissent pas pour rechercher une récompense, mais simplement parce qu’ils ont pris des habitudes. Le cerveau associe toujours un comportement à une cause et quand il s’agit d’une récompense, la cause est externe (exemple un bon salaire). Quand la récompense ou sa promesse disparaît, le comportement disparaît lui aussi. Mais quand il n’y a pas de récompense, le cerveau se met alors à chercher une cause interne (la passion, le sens, le caractère…). C’est ce qui est observé chez les indépendants ou les chefs d’entreprise qui prennent l’habitude de travailler dur et finissent par prendre plaisir à cette situation. Selon cette théorie, plus le salarié reçoit des récompenses et moins il est engagé dans ses comportements.
Ne cherchez plus à motiver vos collaborateurs, engagez-les !
Article Be@Boss publié le 02/03/2023

Épuisement professionnel

Selon le baromètre annuel OpinionWay, réalisé pour le cabinet Empreinte Humaine spécialisé sur les risques psychosociaux et la qualité de vie au travail, 44% des salariés présentent une détresse psychologique partiellement ou totalement lié à leur emploi. Un état qui recouvre à la fois des symptômes de dépression et d’épuisement. Ce chiffre est en hausse de 3 points par rapport à juin 2022. Les employés les plus sujets au burn-out sont les femmes (49 %), les moins de 29 ans (55 %) et les managers (44 %). Pourtant 8 personnes sur 10 disent aimer leur travail.
Près de la moitié des salariés français en détresse psychologique, selon une étude
Article Capital publié le 09/03/2023

Des femmes dans les start-up à impact

D’après l’étude « Invest in her » menée par le cabinet EY, France Digitale et Journée de la Femme Digitale, 27 % des startups à impact ont été fondées ou cofondées par des femmes en 2022. Ces jeunes-pousses françaises sont des structures qui optent dès leur création pour un engagement sociétal fort, utilisant l’économie comme levier pour développer un ancrage dans le social, la culture, l’éducation, et de plus en plus dans l’environnement. Des activités dont les financements sont passés de 300 millions à 450 millions d’euros, ce qui représente une progression de 50 %.
27 % des startups à impact ont été fondées ou cofondées par des femmes en 2022
La représentation des femmes dans les startups à impact
Article EY publié le 08/03/2023

On part de loin

L’Observatoire de l’Innovation Responsable s’est intéressé à la perception de la RSE en France, et aux aspirations des Français. 45 % ont déjà entendu parler de la RSE et moins d’un salarié sur deux connaît les engagements de son entreprise en la matière. Seuls 16 % des interrogés ont une connaissance précise de ce qu’est la Responsabilité Sociétale des entreprises. Pourtant 7 salariés sur 10 considèrent que l’engagement des entreprises françaises est insuffisant, et le constat est tout aussi négatif en ce qui concerne leur propre entreprise. 64 % des salariés le jugent insuffisant. Et parmi ceux qui connaissent les actions RSE de leur entreprise, 35 % s’y impliquent.
Quelles sont les attentes des Français en matière de RSE ?
Article E marketing publié le 21/03/2023

Par |2023-04-27T13:42:40+00:00avril 27th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Février2023

Revue de presse

Métiers à impact, lâcher-prise, zapping professionnel … L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en février 2023.

La chasse aux cadres est ouverte

L’APEC a publié son baromètre pour le premier trimestre 2023. Développeurs, comptables, chargés d’affaires, commerciaux… 14 % des entreprises ont l’intention de recruter au moins un cadre sur les trois premiers mois de l’année, soit une hausse de 2 points par rapport au trimestre précédent. Plus d’un cadre sur trois, soit 36%, déclare avoir été contacté par un cabinet de chasseurs de tête au cours des trois derniers mois. C’est six points de plus qu’en 2021 à la même période. La chasse devient une pratique de plus en plus courante.
Baromètre Apec – 1e trimestre 2023
Dossier de presse 9 février 2023
Baromètre Apec à télécharger du 09/02/2023

Les métiers à impact recrutent

Birdeo, cabinet de recrutement spécialisé dans le développement durable a publié pour la cinquième année, son Top 5 des postes à impact les plus recherchés par les entreprises françaises. Le climat, l’économie circulaire, la data et la finance durable concentrent l’essentiel des besoins de cadres en quête de sens au travail ou d’une reconversion engagée. Le type de diplôme requis et la rémunération moyenne sont indiqués pour chaque poste.
En quête de sens au travail ? Misez sur les métiers à impact !
Article Courrier Cadres publié le 06/02/2023

La tendance du zapping

Après le « quiet quitting », place au « quick quitting ». Une tendance qui consiste à quitter l’entreprise après quelques mois en poste. Pour éviter le réflexe de zapping des nouvelles recrues, l’entretien doit être le plus transparent possible. Un maximum d’informations sur l’entreprise, la culture et son fonctionnement doivent être donnés en amont de l’arrivée dans l’entreprise. Il est important d’écouter les ressentis collaborateurs, particulièrement lors des premiers mois pour pouvoir anticiper les signaux faibles. A noter aussi des conditions de travail défiant toute concurrence, un accompagner et une valorisation des salariés tout au long de leur parcours professionnel.
Quick quitting : quand les salariés restent en poste pendant un an (max)
Article Maddyness publié le 06/02/2023

Comment faire pour lâcher-prise ?

Le sur engagement et l’épuisement professionnel touchent de nombreux salariés en France. Parmi les victimes de burn-out, on constate une grande partie de collaborateurs sur-engagés, qui donnent tellement à leur entreprise qu’ils s’y consument. Pour lâcher prise, il faut travailler sur la priorisation et la quantification de l’urgence. Avec du sens, les heures travaillées sont moins coûteuses émotionnellement. Et enfin, il faut trouver le bon équilibre entre sens et engagement, entre donner à l’entreprise et s’en détacher.
Évitez le burn-out, désengagez-vous !
Chronique de Kevin Bourgeois publiée le 13/02/2023 dans le JDN

Des candidats en manque de confiance

Selon une étude de l’école de commerce EM Normandie, plus d’un salarié sur deux ne postule pas à une offre d’emploi qui l’intéresse alors qu’il dispose des compétences et des expériences requises. Ceux qui ne postulent pas redoutent l’échec et ne veulent pas être confrontés à des émotions négatives engendrées par les refus. Pour attirer davantage de candidats, les annonces devraient moins parler de l’entreprise, mais plus du processus de recrutement.
Emploi : quand les candidats à l’embauche n’ont pas suffisamment confiance en eux
Article France Info publié le 24/02/2023

Par |2023-03-30T08:37:37+00:00mars 30th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Janvier2023

Revue de presse

Rapport au travail, blues hivernal, perspectives 2023… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en janvier 2023.

Le blues du businessman

Au mois de janvier, la bonne humeur des collaborateurs est parfois absente. En cause : un léger passage à vide fruit d’une équation tenant compte du manque de lumière du jour associé à la nostalgie des fêtes de fin d’année. Le blues hivernal est une forme de dépression saisonnière, caractérisé par une tendance à ressentir une grande fatigue et un manque d’entrain. Typiquement, au travail, les salariés font face à des difficultés pour se concentrer, à une certaine irritabilité, voire à une forte tristesse. 5 astuces pour les aider à repartir du bon pied : organiser un événement convivial, mettre à disposition une salle de détente, lancer de nouveaux outils de communication interne, offrir aux équipes des services additionnels (pressing, crèche…) et mettre en place des actions éco-responsables.
2023 : les astuces pour repartir sur de bons rails au bureau
Article Les Échos publié le 11/01/2023

Je t’aime… moi non plus

Selon une étude de l’Ifop pour la Fondation Jean Jaurès sortie hier, 61 % des salariés en France préfèrent gagner moins d’argent, mais avoir plus de temps libre. Ils étaient 38 % en 2008. Plusieurs hypothèses relayées dans les médias ont été avancées pour expliquer la désaffection des salariés envers leur travail : déficit d’implication, culte de l’individu roi avant tout attaché aux loisirs, émergence d’une société de paresseux par rapport aux générations précédentes… L’analyse « Je t’aime, moi non plus : les ambivalences du nouveau rapport au travail » vise à revenir sur les origines à court et long terme du nouveau rapport au travail et sur la façon dont l’expérience de travail se vit dorénavant au quotidien.
Je t’aime, moi non plus : les ambivalences du nouveau rapport au travail 
Focus Ifop à télécharger du 24/01/2023

Plus de communication, moins d’insatisfaction

L’enquête « Global benefits attitude » menée par WTW auprès de 35 000 salariés dans le monde recèle d’enseignements. Plus les avantages sociaux répondent aux besoins des employés, mieux ils se sentent au travail. En effet, les employeurs ayant le mieux communiqué vers leurs salariés ont permis à ces derniers de prendre vraiment conscience des avantages dont ils disposaient. L’enquête révèle aussi que 44 % des collaborateurs insatisfaits en la matière songent à changer d’entreprise. Et le chiffre tombe à 22 % lorsqu’ils se disent satisfaits des avantages proposés. Les principales préoccupations sont les dispositifs de retraite, la flexibilité au travail, l’investissement dans la progression de carrière et enfin la protection sociale.
Avantages sociaux, un levier pour fidéliser ses salariés ?
Article Focus RH publié le 24/01/2023

Des dirigeants dans l’expectative

Selon le Baromètre des Entreprises françaises, publié par Eurogroup Consulting pour BFM Business, 75% des dirigeants français se disent être dans l’expectative (incertitude, préoccupation ou pessimisme). Les défis majeurs : l’adaptation aux crises successives (84 %) et la réussite des transitions énergétique et écologique (76 %). Pour traverser cette période incertaine, les principaux leviers d’action utilisés pour développer l’engagement des salariés seront le maintien d’un juste niveau de rémunération (34 %), l’équilibre entre engagement professionnel et personnel (23 %), le développement des compétences managériales (20 %) et le développement de méthodes de travail plus agiles (19 %). La fidélisation des équipes est jugée prioritaire, avant le recrutement (62 %).
Baromètre des entreprises 2023 : entre préoccupations des dirigeants et attentes des salariés
Article Courrier cadre publié le 05/01/2023

Des RH dans l’incertitude

Comment les professionnels RH ont vécu l’année 2022 ? Quelles sont leurs perspectives personnelles et professionnelles pour 2023 ? Les résultats de la 3e édition du baromètre annuel « Professionnels RH, comment allez-vous ? » affichent une note de moral de 5,4/10 globalement satisfaisante en 2022, même si en légère baisse par rapport à 2021 (5,7 en 2021). Pour ce qui est de leurs perspectives 2023, ils restent prudents et placent l’année 2023 sous le signe de l’incertitude avec une charge de travail qui restera très importante dans les mois à venir. Bref, une année qui s’annonce comme laborieuse et incertaine.
Enquête « Professionnels RH : comment allez-vous ? » : les résultats 2023
Enquête Gereso publiée le 05/01/2023

Par |2023-02-28T09:47:32+00:00février 28th, 2023|

La revue de presse de l’Observatoire de l’Engagement #Décembre2022

Revue de presse

Dirigeant inspiré, interruptions au travail, jeune diplômé… L’Observatoire de l’Engagement a sélectionné 5 articles, en accès libre, en lien avec l’engagement des salariés parus en décembre 2022.

Dans la tête d’un jeune diplômé

L’institut BVA a sondé un échantillon représentatif de 800 jeunes âgés de 18 à 24 ans pour comprendre quelle était la réalité de l’engagement au sein de la jeunesse française. On y apprend notamment qu’un jeune sur cinq (21%) déclare avoir déjà renoncé à un travail ou une proposition d’emploi en raison de ses convictions ou de son engagement. Et contrairement aux idées reçues, l’environnement n’est pas la première raison mise en avant par les déserteurs : c’est le manque d’engagement personnel de la part des dirigeants de l’entreprise (38%) qui est le plus cité.
Les jeunes et l’engagement, le choix d’une vie ?
Article BVA publié le 08/12/2022

#VendrediLecture

Un collectif de DRH engagés dans la mise en œuvre de la responsabilité écologique et sociale de leurs groupes a réuni les enseignements qu’ils ont tirés de leur propre expérience. De leurs réflexions est né un livre collectif Le Sens. ADN de l’entreprise responsable aux Éditions Diateino. Morceaux choisis : « Croire au produit, c’est déjà trouver du sens » DRH d’Airbus. « Si déjà toutes les entreprises permettaient à leurs salariés de comprendre pourquoi ils se lèvent le matin, un stade important serait franchi » DRH de Nexans. « Ce n’est pas le baby-foot qui va rendre les employés heureux » DRH d’Air Liquide…
Dirigeants en quête de sens
Article Les Échos publié le 05/12/2022

Avez-vous un bon IBETSCORE ?

Le cabinet Mozart Consulting a établi un indice IBET, acronyme d’Indice de Bien-Être au Travail, et un outil de mesure en IBETSCORE en exploitant des données publiques et privées. L’IBET permet d’évaluer l’engagement réciproque des parties prenantes (salariés, managers) et de fournir des indicateurs préalables à la mise en place d’actions d’accompagnement dédiés au projet de Santé, Qualité de Vie et Conditions de Travail. En 2022, la moyenne nationale de l’IBET est évaluée à 0,81 en hausse par rapport à 2021 et le coût moyen annuel du désengagement en SQVCT est évalué à 10 070 €. Depuis 2011, année de création de l’IBET, c’est la filière industrielle qui a toujours le meilleur indice.
Bien-être au travail en France : pourquoi la situation s’améliore selon l’IBET 2022
Article RH Matin du 22/12/2022

Je peux vous interrompre 2 minutes ?

Les interruptions au travail pourraient-elles avoir des aspects positifs ? La réponse à cette question n’est pas si simple, mais la recherche en sciences cognitives pourrait apporter quelques éclaircissements. Dans une majorité des cas, être interrompu ou interrompre soi-même sa tâche en cours fait perdre en efficacité. Il semblerait également que subir de nombreuses interruptions au quotidien et pratiquer le multitâche avec plusieurs outils de communication réduit notre engagement au travail. Pourtant, une équipe de recherche montre qu’être interrompu par une tâche simple altère moins l’efficacité qu’une tâche complexe. De même, une tâche courte (quelques secondes) sera moins délétère par rapport à une tâche plus longue (plusieurs minutes). Et enfin, une interruption peut être une source d’interactions sociales qui nous aident au travail.
Interruptions au travail : faut-il toutes les éviter ?
Article L’Usine Nouvelle publié le 26/12/2022

Portrait type d’un dirigeant apte à donner du sens

De nombreuses études ont montré que les dirigeants jouent un rôle clé pour aider les employés à comprendre en quoi leur travail importe. Quatre traits de caractère déterminent la capacité d’un dirigeant à faire en sorte que le travail de ses subordonnés ait du sens à leurs yeux : ils sont curieux et concernés. Ils poussent leurs employés à ne jamais se satisfaire des résultats obtenus. Ils embauchent des individus dont les valeurs correspondent à la culture de leur entreprise. Et, enfin Ils savent faire confiance à autrui.
Comment booster l’engagement de son équipe
Article Harward Business Review du 16/12/2022

Par |2023-01-30T19:25:27+00:00janvier 30th, 2023|
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